Oui, ce mépris constant et un fradeau à la mode.je l'ai constaté dans son épaisseur grasse et complaisante à props de littérature: tout ce qui paraît est forcément nul tandis qu'un certain veut "disséquer le cadavre de la littérature"... Bref, la complaisance d'êtres se pensant supérieurs. Avec l'idéologie mochasse de la décadence. La sous-vie en grogne mesquine. Le hard-discount de l'affect infect. Ah! Y sont cons, les autres! ah! les dégueulasses... Tant d'énergie gâchées en goguenardise savantasse de critiques au style de ceritificat d'étude.
Il y a peut-être des grandeurs en eux.Mais ils les étouffent: je ne juge que les actes, les conduites, les paroles. Ils tirent à vue sur otu ce qui bouge, qui avance, qui rénove, qui invente. Et, bien sûr, tute personne qui connaît le succès est forcément mauvaises, nulle, à chier...Mécanique de soumis, d'esclave qui se croît libre parce qu'il se veut vachard.C'est l'esprit concierge de roman populaire, de pipelet médisant jouissant infiniment de sa médiocrité!
Et si l'on n'est pas d'accord avec eux, ils attaquent la personne, jusqu'à ses origines. C'est de ça qu'il faut nous défaire. Le mépris, le dégoût... Le regard sale qui salit l'autre. Après, on va bien... Pour moi, écrire c'est aussi se défaire petit à petit de ces tendances humaines qui ont fait tant de mal. Devenir des Madame Bovary s'imprégner de l'idée de l'autre...donner une chance au bonheur d'être soi! D'être ce qu'on devient. Muscilation charnue du coeur et de l'esprit! pour un amour juteux aussi sapide et souëf qu'un tournedos parfait: tout art est viande!