

C’est un émerveillement pour lui, bien sûr, mais aussi pour le lecteur tant il réussit à faire partager sa joie de découvrir pour la première fois des paysages aussi majestueux, beaux et encore intacts.


Chaque journée de cet été-là avait été comme un chant de grâce: "Aussi longtemps que je vivrai, j'entendrai les chutes d'eau, le chant des oiseaux et du vent, j'apprendrai le langage des roches, le grondement des orages et des avalanches et je resterai aussi près que possible du cœur du monde. Et qu'importe la faim, le froid, les travaux difficiles, la pauvreté!"

