La mosaïque de Dieu
FERVEUR RÉVOLUTIONNAIRE. Cette mosaïque de dos humains, ployés en direction de La Mecque, a été photographiée vendredi dernier sur la place Tahrir, au Caire, au onzième jour de la révolte égyptienne contre les trente ans de règne de Hosni Moubarak. Les manifestants croyaient encore obtenir le départ du raïs, mais depuis, l’épuisement et la peur des représailles n’ont cessé d’éclaircir leurs rangs. L’espoir s’est éteint peu à peu, tandis que la rumeur des embouteillages s’élevait à nouveau autour d’eux, signe d’un « retour à la normale » dans cette mégalopole de 20 millions d’habitants. Faudra-t-il attendre jusqu’à la présidentielle de septembre, à laquelle Moubarak a promis de ne pas se représenter a " />FERVEUR RÉVOLUTIONNAIRE. Cette mosaïque de dos humains, ployés en direction de La Mecque, a été photographiée vendredi dernier sur la place Tahrir, au Caire, au onzième jour de la révolte égyptienne contre les trente ans de règne de Hosni Moubarak. Les manifestants croyaient encore obtenir le départ du raïs, mais depuis, l’épuisement et la peur des représailles n’ont cessé d’éclaircir leurs rangs. L’espoir s’est éteint peu à peu, tandis que la rumeur des embouteillages s’élevait à nouveau autour d’eux, signe d’un « retour à la normale » dans cette mégalopole de 20 millions d’habitants. Faudra-t-il attendre jusqu’à la présidentielle de septembre, à laquelle Moubarak a promis de ne pas se représenter a " title="En voir de toutes les couleurs...." />FERVEUR RÉVOLUTIONNAIRE. Cette mosaïque de dos humains, ployés en direction de La Mecque, a été photographiée vendredi dernier sur la place Tahrir, au Caire, au onzième jour de la révolte égyptienne contre les trente ans de règne de Hosni Moubarak. Les manifestants croyaient encore obtenir le départ du raïs, mais depuis, l’épuisement et la peur des représailles n’ont cessé d’éclaircir leurs rangs. L’espoir s’est éteint peu à peu, tandis que la rumeur des embouteillages s’élevait à nouveau autour d’eux, signe d’un « retour à la normale » dans cette mégalopole de 20 millions d’habitants. Faudra-t-il attendre jusqu’à la présidentielle de septembre, à laquelle Moubarak a promis de ne pas se représenter a " border="0" />
FERVEUR RÉVOLUTIONNAIRE. Cette mosaïque de dos humains, ployés en direction de La Mecque, a été photographiée vendredi dernier sur la place
Tahrir, au Caire, au onzième jour de la révolte égyptienne contre les trente ans de règne de Hosni Moubarak. Les manifestants croyaient encore obtenir le départ du raïs, mais depuis,
l’épuisement et la peur des représailles n’ont cessé d’éclaircir leurs rangs. L’espoir s’est éteint peu à peu, tandis que la rumeur des embouteillages s’élevait à nouveau autour d’eux, signe
d’un « retour à la normale » dans cette mégalopole de 20 millions d’habitants. Faudra-t-il attendre jusqu’à la présidentielle de septembre, à laquelle Moubarak a promis de ne pas se représenter
? (Amr Dalsh/REUTERS)
Un
Patchwork de "Cashemire"


La mosaïque de feu
Les entrailles incandescentes de la terre
«LE FIG MAG»À L’HONNEUR. Cette photo, vous la connaissez déjà : nous l’avons publiée l’été dernier, dans le cadre d’un reportage exceptionnel, réalisé pour nous au sommet du volcan Nyiragongo, au Congo, par le photographe français Olivier Grunewald. Pour prendre ce cliché, il lui avait fallu revêtir une combinaison intégrale en amiante, qui ne le protégeait que partiellement de l’intolérable chaleur et des gaz toxiques dégagés par ce chaudron de8millions dem3 de magma. Mais son courage et son talent viennent d’être récompensés par l’attribution d’un World Press Award 2011, dans la catégorie Nature. La plus prestigieuse des distinctions, celle dont rêvent tous ses confrères ! " />«LE FIG MAG»À L’HONNEUR. Cette photo, vous la connaissez déjà : nous l’avons publiée l’été dernier, dans le cadre d’un reportage exceptionnel, réalisé pour nous au sommet du volcan Nyiragongo, au Congo, par le photographe français Olivier Grunewald. Pour prendre ce cliché, il lui avait fallu revêtir une combinaison intégrale en amiante, qui ne le protégeait que partiellement de l’intolérable chaleur et des gaz toxiques dégagés par ce chaudron de8millions dem3 de magma. Mais son courage et son talent viennent d’être récompensés par l’attribution d’un World Press Award 2011, dans la catégorie Nature. La plus prestigieuse des distinctions, celle dont rêvent tous ses confrères ! " title="En voir de toutes les couleurs...." />«LE FIG MAG»À L’HONNEUR. Cette photo, vous la connaissez déjà : nous l’avons publiée l’été dernier, dans le cadre d’un reportage exceptionnel, réalisé pour nous au sommet du volcan Nyiragongo, au Congo, par le photographe français Olivier Grunewald. Pour prendre ce cliché, il lui avait fallu revêtir une combinaison intégrale en amiante, qui ne le protégeait que partiellement de l’intolérable chaleur et des gaz toxiques dégagés par ce chaudron de8millions dem3 de magma. Mais son courage et son talent viennent d’être récompensés par l’attribution d’un World Press Award 2011, dans la catégorie Nature. La plus prestigieuse des distinctions, celle dont rêvent tous ses confrères ! " border="0" />
«LE FIG MAG»À L’HONNEUR. Cette photo, vous la connaissez déjà : nous l’avons publiée l’été dernier, dans le cadre d’un reportage
exceptionnel, réalisé pour nous au sommet du volcan Nyiragongo, au Congo, par le photographe français Olivier Grunewald. Pour prendre ce cliché, il lui avait fallu revêtir une
combinaison intégrale en amiante, qui ne le protégeait que partiellement de l’intolérable chaleur et des gaz toxiques dégagés par ce chaudron de8millions dem3 de magma. Mais son
courage et son talent viennent d’être récompensés par l’attribution d’un World Press Award 2011, dans la catégorie Nature. La plus prestigieuse des distinctions, celle dont rêvent
tous ses confrères ! (Olivier Grunewald pour Le Figaro Magazine)

Un mâle et trois femelles. Credo, Ilanga, Bhandura et Luna viennent de passer dix semaines en quarantaine au Ouwehands Zoo de Rhenen, aux Pays-Bas. Relâchés le 11 février, ils descendent des lions blancs de la Timbavati Game Reserve, une espèce rare provenant d’Afrique du Sud. (Robin Utrecht/AFP)
