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En voir de toutes les couleurs....

Publié le 21 février 2011 par Marigotine

 

   La mosaïque de Dieu

<b></div>FERVEUR RÉVOLUTIONNAIRE</b>. Cette mosaïque de dos humains, ployés en direction de La Mecque, a été photographiée vendredi dernier sur la place Tahrir, au Caire, au onzième jour de la révolte égyptienne contre les trente ans de règne de Hosni Moubarak. Les manifestants croyaient encore obtenir le départ du raïs, mais depuis, l’épuisement et la peur des représailles n’ont cessé d’éclaircir leurs rangs. L’espoir s’est éteint peu à peu, tandis que la rumeur des embouteillages s’élevait à nouveau autour d’eux, signe d’un « retour à la normale » dans cette mégalopole de 20 millions d’habitants. Faudra-t-il attendre jusqu’à la présidentielle de septembre, à laquelle Moubarak a promis de ne pas se représenter a FERVEUR RÉVOLUTIONNAIRE. Cette mosaïque de dos humains, ployés en direction de La Mecque, a été photographiée vendredi dernier sur la place Tahrir, au Caire, au onzième jour de la révolte égyptienne contre les trente ans de règne de Hosni Moubarak. Les manifestants croyaient encore obtenir le départ du raïs, mais depuis, l’épuisement et la peur des représailles n’ont cessé d’éclaircir leurs rangs. L’espoir s’est éteint peu à peu, tandis que la rumeur des embouteillages s’élevait à nouveau autour d’eux, signe d’un « retour à la normale » dans cette mégalopole de 20 millions d’habitants. Faudra-t-il attendre jusqu’à la présidentielle de septembre, à laquelle Moubarak a promis de ne pas se représenter a " />FERVEUR RÉVOLUTIONNAIRE. Cette mosaïque de dos humains, ployés en direction de La Mecque, a été photographiée vendredi dernier sur la place Tahrir, au Caire, au onzième jour de la révolte égyptienne contre les trente ans de règne de Hosni Moubarak. Les manifestants croyaient encore obtenir le départ du raïs, mais depuis, l’épuisement et la peur des représailles n’ont cessé d’éclaircir leurs rangs. L’espoir s’est éteint peu à peu, tandis que la rumeur des embouteillages s’élevait à nouveau autour d’eux, signe d’un « retour à la normale » dans cette mégalopole de 20 millions d’habitants. Faudra-t-il attendre jusqu’à la présidentielle de septembre, à laquelle Moubarak a promis de ne pas se représenter a " title="En voir de toutes les couleurs...." />FERVEUR RÉVOLUTIONNAIRE. Cette mosaïque de dos humains, ployés en direction de La Mecque, a été photographiée vendredi dernier sur la place Tahrir, au Caire, au onzième jour de la révolte égyptienne contre les trente ans de règne de Hosni Moubarak. Les manifestants croyaient encore obtenir le départ du raïs, mais depuis, l’épuisement et la peur des représailles n’ont cessé d’éclaircir leurs rangs. L’espoir s’est éteint peu à peu, tandis que la rumeur des embouteillages s’élevait à nouveau autour d’eux, signe d’un « retour à la normale » dans cette mégalopole de 20 millions d’habitants. Faudra-t-il attendre jusqu’à la présidentielle de septembre, à laquelle Moubarak a promis de ne pas se représenter a " border="0" /> FERVEUR RÉVOLUTIONNAIRE. Cette mosaïque de dos humains, ployés en direction de La Mecque, a été photographiée vendredi dernier sur la place Tahrir, au Caire, au onzième jour de la révolte égyptienne contre les trente ans de règne de Hosni Moubarak. Les manifestants croyaient encore obtenir le départ du raïs, mais depuis, l’épuisement et la peur des représailles n’ont cessé d’éclaircir leurs rangs. L’espoir s’est éteint peu à peu, tandis que la rumeur des embouteillages s’élevait à nouveau autour d’eux, signe d’un « retour à la normale » dans cette mégalopole de 20 millions d’habitants. Faudra-t-il attendre jusqu’à la présidentielle de septembre, à laquelle Moubarak a promis de ne pas se représenter ? (Amr Dalsh/REUTERS)                      Un Patchwork de "Cashemire"
Mercredi 16 février, des musulmans du Cachemire regardent un prêtre qui brandit une relique soi-disant constituée d’un poil de la barbe de Mohammed sur l’autel d’Hazratbal, en Inde. À l’occasion du Eid-e-Milad-un-Nabi, l’anniversaire du prophète, des milliers de pratiquants se réunissent à cet endroit pour prier.
Mercredi 16 février, des musulmans du Cachemire regardent un prêtre qui brandit une relique soi-disant constituée d’un poil de la barbe de Mohammed sur l’autel d’Hazratbal, en Inde. À l’occasion du Eid-e-Milad-un-Nabi, l’anniversaire du prophète, des milliers de pratiquants se réunissent à cet endroit pour prier. (Tauseef Mustafa/AFP)                Les couleurs de la moisson...
Des joueurs de tambour se produisent lors de la parade du festival annuel de Shehuo, à Xining, en Chine, lundi 14 février. Chaque année, les habitants de la ville se réunissent à cette occasion afin de prier pour les récoltes et les revenus à venir.
Des joueurs de tambour se produisent lors de la parade du festival annuel de Shehuo, à Xining, en Chine, lundi 14 février. Chaque année, les habitants de la ville se réunissent à cette occasion afin de prier pour les récoltes et les revenus à venir. (Stringer Shanghai/REUTERS)   
   La mosaïque de feu
          Les entrailles incandescentes de la terre   
<b></div>«LE FIG MAG»À L’HONNEUR.</b> Cette photo, vous la connaissez déjà : nous l’avons publiée l’été dernier, dans le cadre d’un reportage exceptionnel, réalisé pour nous au sommet du volcan Nyiragongo, au Congo, par le photographe français Olivier Grunewald. Pour prendre ce cliché, il lui avait fallu revêtir une combinaison intégrale en amiante, qui ne le protégeait que partiellement de l’intolérable chaleur et des gaz toxiques dégagés par ce chaudron de8millions dem3 de magma. Mais son courage et son talent viennent d’être récompensés par l’attribution d’un World Press Award 2011, dans la catégorie Nature. La plus prestigieuse des distinctions, celle dont rêvent tous ses confrères ! «LE FIG MAG»À L’HONNEUR. Cette photo, vous la connaissez déjà : nous l’avons publiée l’été dernier, dans le cadre d’un reportage exceptionnel, réalisé pour nous au sommet du volcan Nyiragongo, au Congo, par le photographe français Olivier Grunewald. Pour prendre ce cliché, il lui avait fallu revêtir une combinaison intégrale en amiante, qui ne le protégeait que partiellement de l’intolérable chaleur et des gaz toxiques dégagés par ce chaudron de8millions dem3 de magma. Mais son courage et son talent viennent d’être récompensés par l’attribution d’un World Press Award 2011, dans la catégorie Nature. La plus prestigieuse des distinctions, celle dont rêvent tous ses confrères ! " />«LE FIG MAG»À L’HONNEUR. Cette photo, vous la connaissez déjà : nous l’avons publiée l’été dernier, dans le cadre d’un reportage exceptionnel, réalisé pour nous au sommet du volcan Nyiragongo, au Congo, par le photographe français Olivier Grunewald. Pour prendre ce cliché, il lui avait fallu revêtir une combinaison intégrale en amiante, qui ne le protégeait que partiellement de l’intolérable chaleur et des gaz toxiques dégagés par ce chaudron de8millions dem3 de magma. Mais son courage et son talent viennent d’être récompensés par l’attribution d’un World Press Award 2011, dans la catégorie Nature. La plus prestigieuse des distinctions, celle dont rêvent tous ses confrères ! " title="En voir de toutes les couleurs...." />«LE FIG MAG»À L’HONNEUR. Cette photo, vous la connaissez déjà : nous l’avons publiée l’été dernier, dans le cadre d’un reportage exceptionnel, réalisé pour nous au sommet du volcan Nyiragongo, au Congo, par le photographe français Olivier Grunewald. Pour prendre ce cliché, il lui avait fallu revêtir une combinaison intégrale en amiante, qui ne le protégeait que partiellement de l’intolérable chaleur et des gaz toxiques dégagés par ce chaudron de8millions dem3 de magma. Mais son courage et son talent viennent d’être récompensés par l’attribution d’un World Press Award 2011, dans la catégorie Nature. La plus prestigieuse des distinctions, celle dont rêvent tous ses confrères ! " border="0" /> «LE FIG MAG»À L’HONNEUR. Cette photo, vous la connaissez déjà : nous l’avons publiée l’été dernier, dans le cadre d’un reportage exceptionnel, réalisé pour nous au sommet du volcan Nyiragongo, au Congo, par le photographe français Olivier Grunewald. Pour prendre ce cliché, il lui avait fallu revêtir une combinaison intégrale en amiante, qui ne le protégeait que partiellement de l’intolérable chaleur et des gaz toxiques dégagés par ce chaudron de8millions dem3 de magma. Mais son courage et son talent viennent d’être récompensés par l’attribution d’un World Press Award 2011, dans la catégorie Nature. La plus prestigieuse des distinctions, celle dont rêvent tous ses confrères ! (Olivier Grunewald pour Le Figaro Magazine)      
  
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Un mâle et trois femelles. Credo, Ilanga, Bhandura et Luna viennent de passer dix semaines en quarantaine au Ouwehands Zoo de Rhenen, aux Pays-Bas. Relâchés le 11 février, ils descendent des lions blancs de la Timbavati Game Reserve, une espèce rare provenant d’Afrique du Sud. (Robin Utrecht/AFP)

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