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Christos Tsiolkas - La gifle

Par Clarac
Christos Tsiolkas - La gifleÉditeur : Belfond - Date de parution : 13/01/2011 -  246 pages lues sur les 467...
Extrait de la quatrième de couverture :  Provocant, urgent, impitoyable, un roman coup de poing, une révélation dans la lignée d'un Don DeLillo ou d'un Jonathan Franzen. Lors d'un barbecue entre amis, un adulte gifle un enfant qui n'est pas le sien. Un incident qui va créer une onde de choc parmi les invités et provoquer une série d'événements explosifs. Mais aussi révéler, derrière les belles apparences, le racisme ordinaire, la drogue, l'alcool, la honte et une extrême solitude. Tour à tour violent et bouleversant de tendresse, un très grand roman qui dresse, avec une formidable lucidité, le tableau d'un Occident en pleine confusion.Non, ça ne sera pas un billet habituel mais l’autopsie courte d’une lecture abandonnée à la moitié.  L’auteur a choisi de bousculerle lecteur par une utilisation massive de mots crus. Et la lectrice que je suis en a fait une overdose… J'ai tenté de poursuivre cette lecture, de m'intéresser aux personnages mais le vulgaire l'a emporté. Dès la première page, les amis de la confrérie de la poésie comprendront que celle-ci ne sera pas au rendez-vous.  Avant même l’incident de la gifle, Hector chez qui le barbecue est organisé m’est apparucomme quelqu’un qui se soucie beaucoup de ses besoins sexuels. Du sexe à l’état brut que j’ai retrouvé dans les 246 pages lues (pour la sensualité, il faudra repasser). A partir de l'incident, on découvre  l'intimité des personnages. Derrière les masques, on trouve de la drogue, des questions sans réponses, des désillusions, des enfants surprotégés ou élevés devant la télé. J’aime les lectures qui me font réfléchir sur notre société  et ses dérives. Mais là, j’ai abandonné. L’écriture ou plutôt le vulgaire m’a coupée l’envie d’en savoir plus sur ces personnages. Faut-il user à outrance du trash pour émouvoir le lecteur ou le faire réagir sur certains sujets ? Je n’en suis pas certaine.Sandrine(SD49) a également abandonné. D’autres billets : La publivore, Leiloona,Livr-esse, Livrogne.Je m'excuse auprès de  BOB pour cet abandon...

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