La musique omniprésente, la musiquette zinzinulante, le zinzin stridulent, l'horreur du monde totalitairei nous est imposée , avec la tyrannie veule de dla pop, musqique ultramarchane resucée des années 70,et avec, bien évidemment la chansonnette opressante, cette sous- poésie allégée confite dans de la musique de régime: rien de grand, du planplan, du médiocre pour soumis. Et ça fait vendre dans les magasins!
Et encore plus quand la chanson se veut engagée: berck. Un chanteur engagé qui n'est pas en prison est un jeanfoutre: viva Jara!, vive Wolf Biermann!
Foin de la pop visqueuse et de la chansnnette: La musique, elle, demande une présence.On ne peut,pas l'entendre, il faut être là, plsu qu'écouter: vivre. On ne démisionne pas pour subir...
Mais c'est trop dur pour tant et tant de nos contemporains. On préfère le fond sonore qui empêche de penser, de vivre, d'être. Avec de vagues paroles inanes et aux révoltes bien-pensantes glucosées!
Et tous ces gens qui vomissent la "malbouffe", le maquedot tout en se gavant les oreilles de junk-food esgourdesque, de chansons tyranniques qu'on finit par savir par coeur parce qu'on nous les impose! Ah! là on n'est plus écolo, chercheur d'authentique et de pureté: on avale la merde industrielle, on se repaît de fallacieux, de fabriqué...très révélateur tout ça!
Remarquons, cependant, que ce n'est pas pire, mais tout aussi effroyable que ces saloperies de cigales! La nature est le modèle de toutes les oppressions!
Quand on aime la musique on sait vivre le silence. On l' a en soi, on aime le bonheur, la grâce e vivre... Et c'est bien ce que nous disent Gracia Beijani et PAscal Perrot sur http://www.brouillons-de-culture.fr/
Résistance! C'est un devoir!
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble