Je reprends mon activité de contributeur pour classiqueInfo-disque.com. La toute dernière chronique est un éloge (tardif) à l'enregistrement qu'avait fait Bertrand Cuiller de sonates de Domenico Scarlatti (label Alpha).
J'avais déjà été conquis par une très belle version de concertos pour clavecin de Bach par Cuiller père (Daniel) et fils (Bertrand) avec l’ensemble Stradivaria (cf. note du 2 juin 2009). La famille Cuiller joue ces concertos avec un naturel et une spontanéité confondants. Ces derniers respirent, vivent. Les Cuiller jouent « sans se poser de questions métaphysiques ». C’est aussi une version où les interprètes s’engagent de façon certaine et avec le parti pris d’une approche que l’on situerait volontiers sous le signe de la danse et d’un petit clin d’œil à l’improvisation.
On retrouve indéniablement le même esprit dans le dernier disque enregistré par Bertrand Cuiller et consacré cette fois à des sonates de Domenico Scarlatti et à une pièce singulière du Padre Antonio Soler (Fandango). Ce choix n’est certainement pas innocent compte tenu de l’influence espagnole sur nombre de ces sonates de Scarlatti.
On retrouve indéniablement le même esprit dans le dernier disque enregistré par Bertrand Cuiller et consacré cette fois à des sonates de Domenico Scarlatti et à une pièce singulière du Padre Antonio Soler (Fandango). Ce choix n’est certainement pas innocent compte tenu de l’influence espagnole sur nombre de ces sonates de Scarlatti.
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