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Entartrage et emmerdements

Publié le 27 mars 2011 par Orlandoderudder

Le petit-bourgeois rance appelé Le Gloupier, plein d'envie visqueuse de faux anar médiocre pratique l'entartrage. Il nappe l'atteinte à la crème symbolique en vrai héros de la pureté sordide! ILjalouse les gens qui ont agi, ont réussi et démontre sa bassesse fétide aux relents égoutiers.Il n'a pas le courage de l'irrécupérable Trubert! Le Gloupier est intégré, fait partie du folklore. Il est de "mauvais goût" de le critiquer. Vive Trubert!

Trubdert? Ah! Trubert!  Au XIIIe s, Trubert le sot, héros superbe et sauvage, irrécupérable du plus long de tous les fabliaux (2978 vers), en beau picard,  préférait emmerder au sens... propre

C'est le propre de la boureoisie que de se démerder pour rendre les choses convenables. Et sans risques... Comme le fric, la crème est métaphore de la merde et gloupier un pouacre distingué. Parfois, un peu de vulgarité, ce serait plus sain!

Mais là, il y a de vrais risques: l'entatrage est plus lâche que l'emmerdement!

Soyez propres! Ca donne bonne  conscience et les gens, en voous voyant, vous savent honnêtes (vieux calembour). Foin des tartes àla crème: vivent les choux-fleurs à la merdre du Père Ubu!

Lisez Trubert le sot, le sauvage absolu! ca vous fera, en plus, comprendre mieux la langue française et vomir Vaugelas autant que tout puriste! Eh oui, le purisme est politique, social, discriminant, de droite dure...

Mais on ne saurait demander à la gauchinette de réfléchir sur ce que serait une vraie gauche! Qui envisagerait enfin la discrimination langagière et  aussi alimentaire!


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