Parce qu’il n’y a pas que le cinéma dans la vie – ni sur ce site, d’ailleurs – profitons que le taulier soit parti siffler des grands crus à Beaune et parlons encore une fois de bande dessinée :
Critique du Salon de thé de l’Ours Malais, de David Rubin, paru il y a quelques jours chez Rackham.