Chers lecteurs,
vous l'aurez constaté, je me fais rare. C'est que je traverse une petite crise de philosophie, et qu'Aristote est moins guilleret à commenter en ces lieux que Harry Potter. D'ailleurs, honnêtement, comme je n'y comprends pas grand chose, je ne pourrais pas gloser judicieusement sur Spinoza comme j'ai la prétention de le faire au sujet de textes moins touffus.
Or donc, je vous confirme que je suis en bonne forme, que j'ai bien visité l'exposition Cranach (allez-y), que je vais assister demain à une représentation de Bérénice, et que je reviendrai dès que ma période métaphysique perdra de son intensité.