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États-Unis - Quand Scarlett O’Hara s’appelait Pansy

Par Benard

Nathalie Mattheiem

Le manuscrit des derniers chapitres d'Autant en emporte le venta été retrouvé. Exposé en 1979 et 1991, il était curieusement retombé dans un oubli complet. 

Ils dormaient au fond des archives d'une bibliothèque américaine, la Pequot Library, à Southport, dans le Connecticut. Les quatre derniers chapitres, 44 à 47, tapés à la machine, d'Autant en emporte le venty ont été découverts, plus exactement, redécouverts. Ils avaient déjà été exposés deux fois: en 1979, lors d'un événement consacré aux Éditions Macmillan, qui avaient publié l'ouvrage; en 1991, à l'occasion de la parution de Scarlett , la suite «officielle» du roman, rédigée par Alexandra Ripley. Le tapuscrit était ensuite retombé dans l'oubli. Il réapparaît à point nommé.

Son exposition à la bibliothèque Pequot fait une publicité bienvenue à l'institution en quête de fonds pour bâtir sa nouvelle aile. Pour le 150e anniversaire de la guerre de Sécession, en mai, et le 75e de la parution du roman de Margaret Mitchell, le tapuscrit sera acheminé à Atlanta pour y être exposé. C'est dans ces quatre chapitres que figurent deux des répliques les plus connues de l'ouvrage: «My dear, I don't give a damn» (Ma chère, je m'en fiche comme d'une guigne) et «After all, tomorrow is another day» (Après tout, demain est un autre jour).

Lire la suite : http://www.lefigaro.fr/livres/2011/04/26/03005-20110426ARTFIG00473-quand-scarlett-o-hara-s-appelait-pansy.php


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