GAUDIN
http://www.leravi.org/ MAI 2011
Guy TEISSIER Député Maire ,aux cotés de Gérard LONGUET , Ministre de la Défense
pour l'anniversaire de CAMERONE
Interview de Robert ASSANTE du 22/4/2011
http://www.leravi.org/spip.php?article404
http://jbavitrolles.blogspot.com/2011/05/jean-claude-gaudin-dejeune-sans-le.html?spref=tw
http://videos.tf1.fr/jt-20h/marseille-la-colere-des-elus-et-des-policiers-6435295.html
http://www.pluzz.fr/jt-local-19-20---marseille-2011-05-05-18h50.html
http://www.youtube.com/watch?v=OWkYBe1s7CA&feature=player_embedded
6/5/2011
L'Edito de Jean-Laurent Bernard
06 Mai 2011
Le ministre de l'intérieur était très attendu hier à Marseille. Même si Claude Guéant n'a ni apporté ni dit grand chose. La promesse assez floue de quelques dizaines de policiers supplémentaires qui ne pallieront pas les manques indécents dans la deuxième ville de France. Marseille mérite mieux que cette gestion politique à la petite semaine. Des crimes, des agressions très violentes ont marqué fortement les esprits ces derniers mois. Au point que Jean-Claude Gaudin a programmé pour la fin du mois un conseil municipal extraordinaire consacré exclusivement à la sécurité. C'est là où nous sommes dans la pure indécence. Ce n'est pas à Jean-Claude Gaudin, aux élus socialistes, écologistes, communistes ou apolitiques de discuter pendant des heures de l'état sécuritaire de la ville. Même si en prime les comités d'intérêt de quartier viennent y apporter leurs témoignages. De qui se moque-t-on ? Les élus n'ont aucun pouvoir. Rien. Tout ce qu'ils peuvent faire c'est écrire au ministre, aller frapper à sa porte, lui envoyer des suppliques ou lui demander de se plonger dans la presse si d'aventure un fait-divers lui échappe. Si aujourd'hui le ministre de l'intérieur n'est pas au courant de la situation à Marseille, c'est qu'il ne veut ni la voir, ni l'entendre. A la limite que les conseillers municipaux demandent au préfet de venir noter leurs doléances. Il est le représentant de l'Etat, connait la ville et saura donc juger ce qui relève de l'urgence ou de la gesticulation. Les élus même s'ils soutiennent le gouvernement ne sont quand même pas coupables des carences policières. C'est comme le débat sur la police municipale. Effectifs trop faibles dit la gauche. Pourquoi pas ? Mais à chacun son boulot, et la police municipale n'est pas là pour combler les lacunes irresponsables de l'Etat et donc du gouvernement. Cela fait des années que l'on parle de climat, de ressenti. A force de ne pas prendre ces réalités au sérieux, nous sommes aujourd'hui devant des tensions détonantes et au cœur d'un climat qui ne profitera qu'à des votes de rejet et d'extrême. Un joli gâchis. Dont il faudra bien assumer les conséquences.
Bonne journée.
4/5/2011
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VAUZELLE
LE DONNEUR DE LECONS !
DSK
http://www.francesoir.fr/actualite/politique/scandale-ils-n-ont-jamais-ete-prefets-mais-ils-en-touchent-retraite-98391.html
commentaires de sites
BROUTIER le 6 05 2011:
c’est de l’escroquerie pure et simple,avec abus de confiance et détournement de faux .au vu de ces agissement tous ses hauts fonctionnaires devraient immédiatement faire un remboursement au trésor public de trop perçu.
bien attendu avec une très forte ammende.
en plus une comdanation de prison pour tous ces voleurs de l’argent public.
sur ce cela sert strictement a rien de donner nos impressions.
les francais sont trop froussard de ce révolté
contre ce gourvernement et les autres à venir.
broutier
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liseron duveteux5 mai 2011 à 21 h 57 min | Permalien| Répondre à ce commentaireEt en plus la France lui fait honte.
Et tous les C…,qui votent pour ce genre de mec.
Et certains veulent le même pour la présidence en 2013
Voila électeurs de droite et de gauche,ou de gauche et de droite…
Votre seul adversaire c’est ça…
Faut-il encore le comprendre.
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Patrick Mennucci, adjoint à la culture de Michel Vauzelle et qui s’était déjà illustré en finançant par le biais du conseil régional, le film révisionniste « Hors la Loi » pose un nouveau jalon dans sa volonté de se soumettre, et de soumettre notre ville au Nouvel Ordre Migratoire. Adepte de la religion du Vivrensemble, Mennucci n’hésite pas à verser dans la dhimmitude en déclarant « Marseille est une ville arabe, en même temps qu'une ville méditerranéenne. Si l'on n'est pas capable de se regarder tels que nous sommes, nous reculons, et tous les beaux discours sur l'intégration sont dépassés. Marseille doit assumer pleinement sa part arabe”
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GUERINI
4/5/2011
http://www.20minutes.fr/article/717541/marseille-les-gendarmes-auconseil-general
L'Edito de Jean-Laurent Bernard
03 Mai 2011
C'est la journée du grand déballage au Parti socialiste des Bouches du Rhône. Oui tous à la queuleleu comme à la confesse, les hiérarques locaux et les militants de base vont défiler devant la commission d'enquête présidée par Alain Richard. Pas au siège du PS à Marseille, non dans un hôtel à côté de la gare Saint Charles. Un lieu neutre pour sans doute éviter les coups tordus si d'aventure ces entretiens qui mettent en jeu l'avenir de la planète, s'étaient tenus dans l'antre socialiste sans doute jugée peu fiable. Bref, cela fait partie de la mise en scène du drame qui se joue entre les amis, les ennemis, les traitres, les courageux, les combinards et accessoirement une poignée de militants persuadés qu'être socialiste c'est avoir une certaine conception de l'éthique, du sens de l'autre et de l'intérêt commun. Pas sûr qu'Alain Richard ait le temps et le mandat pour enquêter sur les états d'âme. La grande fraternité de la rose attendra des jours plus heureux. Comme il était attaqué, le président du conseil général a sorti l'artillerie lourde avec une compilation des réponses qu'il apporte à ses détracteurs. Au passage Jean-Noel Guérini fusille ses anciens amis, les Mennucci ou Vauzelle se font démonter et renvoyés au rang de fossoyeurs du parti. La stratégie de Monsieur Guérini est simple : on est avec moi ou contre moi. Chacun, chacune est prié de faire allégeance ou de s'attendre aux foudres mortelles d'un homme fermement décidé à ne rien lâcher de ses pouvoirs et de ses ambitions. Les enquêteurs du PS vont devoir prédire l'éventuelle vérité dans le concert des pleureuses, des aigris et des dénonciateurs. Ce cortège stupéfiant va ainsi déverser son linge sale. Avec un gros souci, personne n'a pu mettre la main sur la machine à laver. Alors les torchons et les serviettes s'empilent, sans ordre ni logique, peu importe, ils ont tous la même odeur. Mauvaise, voire repoussante. Une insulte à la démocratie et au suffrage universel. Il y a trop d'irresponsabilité dans cette fratrie désossée. Les dégâts pourraient être terribles alors que l'implosion menace. Les électeurs risquent de prendre la fuite, excédés par cette purge nauséabonde. D'ailleurs la situation est telle que les électeurs sont sans doute de trop. Quantité négligeable incinérée dans le panthéon des ambitions et des petites affaires personnelles. Un carton rouge s'impose. Et accessoirement quelques gifles aussi. Pour soldes de tous comptes.
Bonne journée.
L'Edito de Jean-Laurent Bernard
05 Mai 2011
A quoi jouent gauche et droite en ce moment à Marseille ?
Au chat et à la souris chacun cherche à éviter les grosses gouttes tout en attisant les ennuis de ses rivaux. Paradoxe de cette situation, il ne suffit pas d'être de gauche pour subir les foudres de la droite et inversement. Nous sommes dans une situation où les traditionnelles frontières ont disparu. Les ennuis et les soutiens peuvent venir de n'importe où, il convient de se méfier autant de ses ennemis que de ses amis. La situation n'est guère surprenante, le festival des ambitions est ouvert, sans limite de temps ni de candidats. Cette atmosphère très particulière vient aussi de l'absence presque coupable des deux leaders marseillais. Les silences de Monsieur Gaudin liées officiellement à ses responsabilités politiques nationales qui le tiennent à Paris souvent et longtemps. Cette stratégie de se faire désirer en se taisant est anormale et injuste. Les marseillais ne se réveillent pas chaque matin pour savoir ce que fait ou devient leur maire, en revanche, suivre la vie quotidienne de la deuxième ville de France par l'entremise de quelques communiqués convenus peut légitimement poser question. A mi-mandat, un second souffle s'impose avec de nouvelles perspectives qui viendront apaiser les tourments du chômage, du pouvoir d'achat, de la violence ou des embouteillages. Cette absence de Jean-Claude Gaudin est démentie par son entourage qui jure que le maire tient la baraque. Il n'empêche, jamais les ambitions des successeurs n'ont été aussi bruyantes et ostensibles. Preuve que le vide politique donne de l'appétit aux impatients. Attention, cela ne signifie pas que les dossiers ne sont pas traités. Ils avancent mais le souffle du mentor commence à manquer. C'est aussi une ambiance particulière au conseil général. Pour d'autres raisons. Jean Noël Guérini n'en finit plus d'avoir à se justifier sur tout. Il masque mal son exaspération et ses envies de mener toutes les batailles dans lesquelles on essaie de l'attirer. Comme le doute n'est pas vraiment son point faible, monsieur Guérini continue son chemin en forçant le passage si besoin. La rumeur marseillaise prête à Jean-Claude Gaudin et Jean Noël Guérini de se rapprocher dans ce tumulte. C'est probablement faux. Ils n'ont rien à faire d'autre ensemble que de perdre leur singularité. Et puis chacun attend que l'autre tombe. Non il y a probablement plus de solitude que jamais chez ces deux fauves. Pour l'heure ils s'observent de loin avec l'envie incertaine de croiser à nouveau leurs griffes dans une ultime bataille municipale en 2014.
Bonne journée.
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Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble