Autant que faire se peut, et puisque je me suis inscrit dans les trois catégories, j'essaierai d'alterner les plaisirs. Ainsi, pour cette deuxième chronique
dans le cadre du défi Steampunk orchestré de main de maître par le Lord (ne voyez-là aucune flagornerie de ma part, il n'y a qu'à voir tout ce qu'il met en place pour ce défi : un site dédié, des vidéos, des cocktails...), je me suis décidé pour un roman que j'ai déjà chroniqué il n'y a pas si longtemps. Cependant, je n'avais pas vraiment pris l'angle steampunk de l'oeuvre.
Le 16 avril dernier, je vous disais tout le bien que je pensais du premier roman

Mais où est donc le Steampunk, me demandez-vous ? Eh bien, je vous répondrais qu'il est bien présent. De façon subtile, certes, mais bien présent. Au fil des pages qui se lisent avec un certain plaisir, on croise un dirigeable(2). En effet, c'est le moyen de transport qu'utilise Alicia pour aller voir la Reine londonienne des vampires. Elle croisera sur sa route des savants totalement frappadingues(3) qui, à l'aide de machine à la technologie quelque peu uchronique(4), vont tenter d'utiliser son don d'annihilation des pouvoirs surnaturels pour éradiquer les êtres différents des humains. Elle devra faire face à un automate(5) particulièrement coriace...
Et puis, s'il vous faut une preuve du côté steampunk de cette oeuvre, jetez un oeil sur la couverture, vous verrez que Miss Tarabotti porte des goggles(6) sur son chapeau. Si ce n'est pas une preuve, ça, qu'est-ce que c'est ?
note :



manomètre : 60%
A.C. de Haenne
