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Netherland – Joseph O’Neil

Par Delphinesbooks

Netherland – Joseph O’Neil

Un livre que j’avais hâte de découvrir depuis sa sortie en 2008 car j’en avais beaucoup entendu parler.

Malheureusement, je n’ai pas trouvé ce livre « fascinating » comme Obama !

  L’auteur

(Merci wikipédia)

« Joseph O’Neill est un romancier irlandais né en 1964. Il fut avocat au barreau de Londres avant de s’installer à New-York. Son premier roman, This is the life, paraît alors qu’il n’a que 24 ans. Suivra The Breezes, cinq ans plus tard. Mais le succès de ces deux romans restera assez confidentiel. Il aura fallu que Barack Obama dise tout le bien qu’il pensait de son troisième roman, Netherland, à la BBC (« Je suis en train de lire ce livre intitulé Netherland, de Joseph O’Neill… Il traite de l’après-11 Septembre, d’un homme – sa famille le quitte et il se met à jouer au cricket à New York. Et c’est fascinant. C’est un livre formidable, même si je ne connais rien au cricket »), pour que celui-ci connaisse enfin un grand succès public. »


L’histoire

Celle de Hans, un hollandais analyste financier, parti s’installer à Londres où il y a rencontré sa femme et ensuite à New York. Jusqu’au 11 septembre. Sa femme et son fils rentrent en Angleterre, lui reste à New York. On le suit alors dans ses questionnements, ses souvenirs du passé, ses errances, ses rencontres liées au cricket qu’il se remet à pratiquer. Il va ainsi rencontrer un certain Chuck, originaire de Trinidad, qui va devenir central dans sa vie. On découvrira rapidement que Chuck n’est pas celui qu’il laisse penser.

Ce que j’en ai pensé

Je m’attendais à un portrait de New York post 11 septembre et c’est plutôt le portrait d’un homme vivant à New York et en crise, le 11 septembre n’étant qu’en toile de fond.

Je vois bien les qualités manifestes de ce livre, mais je n’ai pas réussi un seul instant à m’intéresser aux personnages et à leur vie plus qu’embourgeoisée. Les sphères de la finance et des gangters new yorkais m’ont laissée de marbre, totalement. Et puis le cricket encore plus.

Les longs monologues sans fin de Chuck m’ont profondémment ennuyée, ainsi que les réflexions de Hans, j’ai failli abandonner à plusieurs reprises. Je suis donc complètement passée à côté de ce livre.



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