Ciné : De l'eau pour les éléphants

Le réalisateur aurait pu faire un coup de "Titanic" avec son scénario et le thème de la vie d'un cirque pendant la période de la prohiibition.

♥♥   ah ouais quand même (bien)

♥      bof (pas de billet sur Plumeacide) 

♥♥   ah ouais quand même (bien)

♥♥♥   top (très bien)

♥♥♥♥♥   pire que top (trop rare)

♥♥♥♥♥♥   des comme ça y en a qu'un par siècle

Voici ce qu'en dit ce spectateur avisé, et que je signe des deux mains !

J'ai dit

Plume Solidaire

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critique de 24titouille sur Allociné

L'histoire d'un triangle amoureux sur fond de cirque en plein milieu de la dépression des années 1920, en voilà une affiche alléchante ) à laquelle on imagine finir scotché et rêveur! Dommage, car ce film ne remplit pas totalement son contrat, en effet malgré une finition esthétique tout bonnement excellente et très bien mené, le réalisateur ne parvient pas à tenir le spectateur en rêveur éveillé tout au long de son film. On peut effectivement lui reprocher sa longueur au 3/4 du film qui manque de punch et peut faire languir le spectateur. De plus, le fait d'axer le thème prinipal au tour du triangle amourteux sans jamais approffondir correctement le contexte historique et thématique du cirque est tout de même très dommageable. Cette absence donne au film un air de vieux film hollywwodien cliché que certains pourront trouver cheap. Heureusement, malgré ces quelques défauts, si le spectateur se laisse aller, le film reste très appréciable au niveau scénaristique et esthétique. De plus l'atout du film ets concentré sur le trio amoureux, avec Robert Pattinson et une Resse Witherspoon convaincants et complices, et un Christophe Waltz tout simplement brillant. Rien que pour les prestations d'acteur, spécialement celle de C. Waltz, et l'esthétisme soigné ce film vaut tout de même le détour. Mais n'oubliez pas de vous laisser emporter, mais n'espérez pas une totale liberté dans votre rêve : en faute un réalisateur trop dirigiste, trop technique. En somme tout ceci manque d'un peu de piquant, dommage car il y avait un sacré potentiel derrière.