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Divinity II: The Dragon Knight Saga

Par Jibouille

En 2009 sortait Ego Draconis, dans lequel nous incarnions un jeune chevalier draconis, à la fin de sa formation, dans un monde en guerre, où le terrible Damian, le guerrier déchu, sème le chaos. Puis en 2010 sortait Flames of Vengeance, suite de Ego Draconis car il était évident qu’il y aurait un 2ème opus (mis je ne peux pas trop vous en dire car je vous révélerais la fin de Ego Draconis). Le tout fut regroupé dans l’édition The Dragon Knight Saga, disponible sur PC et consoles.

Divinity II: The Dragon Knight Saga

Je ne ferai pas la critique de Ego Draconis car elle a déjà été faite auparavant ici. Le seul fait que je vais rappeler est que j’avais adorer pour son histoire, sa jouabilité presque parfaite et ses décors franchement réussis. Seule la fin avait provoqué une chute brutale mais on se doutait qu’une suite nous pendait au nez. Et ce fut le cas.

Pour ne pas m’étendre, Flames of Vengeance est une extension géniale. Il n’y a pas de révolution quand au jeu lui-même mais au niveau de l’histoire, c’est une évidente réussite. Ce 2ème volet continue parfaitement Ego Draconis à la différence que toute l’action se passe dans un seul endroit: Aleroth (pour des raisons que je ne peux dévoiler). Mais qu’importe. La ville est vaste, emplie de lieux secrets, de maisons immenses, de galeries souterraines qui ne ressemblent jamais. Pour comparer, Aleroth me rappelle un peu la Cité Impériale d’Oblivion. Certes, ce n’est pas aussi étendu qu’un pays mais du coup, il est plus facile de se concentrer sur le scénario et le résultat prouve que ce choix fut le bon. Alors n’ayez aucune crainte, vous ne risquez pas de vous ennuyer.

Divinity II: The Dragon Knight Saga

Quant au gameplay, rien de décevant car il est identique au premier. On a parfois été déçu quand la gameplay changeait, notamment parce que la précédente version était déjà très abouti sur ce point. Et le studio Larian a eu la bonne idée de conserver son système qui marchait vraiment bien et qui, à mon sens, ne nécessitait pas de changements majeurs, surtout dans une version du jeu où les 2 opus sont sur le même CD. Et il est donc évident que le personnage conserve tous ses attributs d’un jeu à l’autre. Le seul petit bémol que je citerai est pour la transformation en dragon qui ne se fait plus. Forcément, on reste au même endroit donc plus besoin de voler mais c’est un peu dommage.

Je reviens sur le scénario dont la durée est au moins aussi longue que Ego Draconis, ce qui n’est pas peu. Même si l’action est toujours très présentes avec des combats de même qualité, le développement des énigmes est très sympathique, avec parfois de vraies recherches et de vraies prises de tête ^^ Le mélange des deux permet de ne pas avoir le sentiment de toujours faire les mêmes missions, qui plus est dans un endroit clos. Et la fin. Quelle réussite! Pourquoi? Parce qu’il y en a deux pour le prix d’une. Et oui. Il y a la possibilité de faire deux chemins différents et qui n’offrent pas du tout la même fin. C’est peut-être pas grand chose sur le fond mais le plaisir est bien là.

En gros, The Dragon Knight Saga est une franche réussite, notamment grâce à une suite au moins aussi bonne que l’originale. Des heures et des heures de bonheur vous attendent.


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