genre: épouvante, horreur (interdit aux - 12 ans)
Année: 2005
durée: 1h10
l'histoire: En 1905, un père de famille assassine et enterre sa fille avec les poupées qu'elle chérissait tant. Cent ans plus tard, la famille Fillbrook s'installe dans la même maison. Guy, un petit garçon de cinq ans, découvre le poupées enterrées. Bientôt, Guy se retrouve possédé par l'esprit vengeur de la fillette décédée.
la critique d'Alice In Oliver:
Charles Band n'est pas un inconnu dans le monde du cinéma bis, loin de là. Mieux encore, c'est l'un des principaux artisans.
Il faut dire que le bonhomme nous fait partager depuis de nombreuses années, et pour notre plus grand malheur, sa passion pour les marionnettes et les poupées.
Et encore une fois, Charles Band sort un film d'horreur avec des poupées maléfiques, sortes de réincarnation d'une fillette autrefois décédée, massacrée par son père et enterrée avec ses jouets.
Mais évidemment, cette tragédie débile laissera des traces et une malédiction entourera ce fait divers. Bien des décennies plus tard, une nouvelle famille vient s'intaller dans la maison du drame.
Très vite, le jeune fils, Guy, a un comportement étrange et semble être sous l'emprise de forces diaboliques.
Les poupées reviennent alors à la vie. Un groupe de jeunes étudiants doit alors affronter les créatures surgies d'outre-tombe.
Non seulement, le film est nul mais même les poupées de service sont hideuses. Parmi elle, on trouve une poupée qui a oublié d'aller chez le dentiste et qui a donc les crocs aiguisés, une poupée marabou complètement foireuse et d'autres jouets tout aussi nazes !
Quant aux acteurs, ils sont conternants de médiocrité. Le scénario ne tient absolument pas la route et la fin est également ratée.
Alors, vous allez me dire: qu'y-a-t-il de bien dans Doll Graveyard ? Réponse: rien... si ce n'est que l'on est super contents quand le mot "fin" apparaît.
Note: 0/20
Note naveteuse: 16.5/20