Le SAI a publié sa dernière lettre d'info, consacrée à la Convention de la Haye, et plus particulièrement aux pays en cours de signature (ici). "Dans les pays d’accueil, le rôle des opérateurs agréés est crucial puisqu’ils peuvent agir au nom et par délégation de l’Autorité centrale pour accompagner les procédures des candidats à l’adoption. C’est, sans aucun doute, une obligation des Autorités centrales de créer les conditions pour que ces opérateurs soient aussi professionnels que possible dans leur approche de l’enfant dans l’accompagnement de la famille adoptive et dans leurs relations avec les autorités du pays d’origine. Dans ces pays d’origine, il s’agit, le cas échéant, de soutenir les efforts des services chargés de mettre en œuvre la Convention. La France, à travers le Service de l’Adoption Internationale, prend sa part à cet appui auprès des futurs et nouveaux Etats parties à la CLH93" précise l'Ambassadeur Monchau dans son édito.
Le SAI a d'ailleurs organisé une rencontre à Paris le 31 mai dernier," en partenariat avec l’Ambassade des Etats-Unis d’Amérique, à l’intention des représentations diplomatiques de pays qui ne sont pas encore membres de cette convention et de pays qui sont actuellement en cours de ratification. Des ambassadeurs et diplomates de 12 pays partenaires de la France dans le domaine de l’adoption internationale (Bénin, Burundi, Cap-Vert, République démocratique du Congo, Corée du sud, Côte d’Ivoire, Haïti, Kazakhstan, Laos, Libéria, Ukraine, Vietnam) ont participé à cette réunion, en présence de Mme Laura Martinez-Mora, représentant le Bureau Permanent de la Conférence de La Haye" (voir là)