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Quelques livres de Romain Gary (et le prochain sur ma liste)

Par Delphinesbooks

Quelques livres de Romain Gary (et le prochain sur ma liste)J’ai découvert Romain Gary avec Lady L.

Depuis, je me délecte de son écriture et lis très régulièrement ses livres. Et je vous une profonde admiration à l’homme. 

J’ai déjà parlé ici de La Promesse de l’aube, Chien blanc, Adieu Gary Cooper, Journal d’un irrégulier et je dois dire que ces 4 ouvrages n’ont rien en commun. C’est la force de cet auteur, avoir su se réinventer sans cesse. Et je ne parle pas des romans écrits sous la plume d’Ajar (ou d’autres encore).

Ceux qui m’ont marquée (en plus de La promesse de l’aube et de Chien blanc)

  • La vie devant soi, qu’on ne présente plus.
  • La tête coupable, roman de 1968, 3ème de la trilogie Frère Océan. C’est l’histoire d’un peintre à Tahiti. Où il est question de supercherie et d’identité. Férocement drôle et déjanté.
  • Les mangeurs d’étoiles, 1966. Portrait de dictateurs  en Amérique du sud. Cynique et si juste.
  • Clair de femme, 1977. Le plus triste, le plus poignant, le plus beau. Une nuit, un homme et une femme. Il y est question d’amour et de perte. Les avis d’Asphodèle et de Martial.

Si vous voulez découvrir Gary, il y a ces 4 livres qui voyagent.

Encore une fois, 4 livres qui n’ont rien en commun, c’est pour cela que j’ai du mal à entendre le genre d’affirmation « je n’aime pas Gary » quand on n’a lu qu’un seul livre de l’homme. C’est un auteur que je défends (voir la lettre que je lui ai adressé) car il a été mal aimé de son vivant et qu’aujourd’hui encore il est très mal connu et assez peu lu.

Quelques livres de Romain Gary (et le prochain sur ma liste)

Ma prochaine lecture sera Le grand vestiaire, si vous voulez vous joindre à moi.

Résumé

À la Libération, le héros (et narrateur) Luc Martin, quatorze ans, dont le père instituteur est mort va se trouver mêlé à la confusion générale des années d’après guerre. Il va être accueilli par un certain Vanderputte avec qui il commettra quantité de cambriolages et vols pour alimenter « le grand vestiaire » c’est-à-dire l’appartement du vieux Vanderputte. Ce dernier va se révéler pire qu’un collaborateur, un dénonciateur de Juifs. Luc Martin le suivra jusqu’au bout dans sa fuite à travers la France.

La prochaine fois, je vous fais une biographie  !


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