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Le Ninja Blanc/American Ninja 2

Publié le 23 juin 2011 par Olivier Walmacq

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genre: action
année: 1987
durée: 1h30

l'histoire: Les soldats Joe Armstrong et Curtis Jackson débarquent sur l'île de Saint-Thomas dans les Caraïbes. Ils ont pour mission d'enquêter sur plusieurs disparitions de militaires américains. Joe et Curtis découvrent l'existence d'une base secrète où les soldats détenus sont conditionnés pour devenir des guerriers ninjas.

la critique d'Alice In Oliver:

Contre toute attente, le premier American Ninja, déjà réalisé par Sam Firstenberg, a rencontré un certain succès par le biais de la vhs.
Clairement, il y a un public pour ce genre de production, et il était donc logique de poursuivre les hostilités, avec American Ninja 2, plus connu sous le nom du Ninja Blanc, produit en 1987.

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Evidemment, ce genre de série B d'action ne coûte pas chère à produire, et on retrouve avec plaisir Michael Dudikoff et Steve James.
Avant toute chose, je tiens à préciser que vous lirez souvent le mot "ninja" dans cette chronique ! A ce sujet, pas de problème, le film de Sam Firstenberg délivre largement la marchandise !

Le scénario est franchement grotesque. Deux soldats, Joe Armstrong (Michael Dudikoff) et Curtis Jackson (Steve James), débarquent aux Caraïbes.
Dès leur arrivée, les deux hommes ne sont pas les bienvenus. D'ailleurs, ils devront affronter plusieurs ninjas noirs.
Certes, les séquences de bastons sont franchement grotesques, mais c'est aussi cela qui fait le charme nanardeux du Ninja Blanc.

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Bientôt, Joe et Curtis découvrent l'existence d'une base secrète. Un riche industriel a organisé un véritable réseau de ninjas et a capturé un scientifique, le but étant kidnappé des militaires pour les transformer en ninjas invincibles (quand je disais que le scénario était ridicule...).
Quant au ninja blanc de service, il s'agit évidemment de Michael Dudikoff, étrangement grimé de vêtements noirs.

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Pour le reste, ce nanar d'action accumule tous les poncifs du genre: un black sympa et un peu obsédé sur les bords, et qui se prénomme Jackson (pourquoi faut-il absolument que les blacks s'appellent Jackson dans les séries B d'action ?), un guerrier mystérieux qui a reçu l'enseignement ninja (donc, Michael Dudikoff), des jolies filles et une île paradisiaque mais mafieuse (évidemment, les Caraïbes). Ne parlons même pas des méchants hyper caricaturaux...
Bref, Le Ninja Blanc reste un mauvais film, mais un mauvais film incroyablement sympathique.

Note: 05/20 (et c'est franchement généreux !)
Note nanardeuse: 17/20


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