Il suffit de lire les deux premières nouvelles de L’Ora(n)ge d’Emilio Sciarrino, 'Tristesse des colocataires' et 'Mémoire d'un cactus', pour comprendre que ce n’est pas un recueil comme les autres.
Immédiatement, on y trouve une fraîcheur, une vivacité et un humour que l’on ne rencontre guère dans la littérature française actuelle.
Mention spéciale à ‘Marie, Arianne, Marianne’, une histoire familiale farfelue au rythme endiablé, 'Kim/Mario' qui sort des sentiers battus et 'D'Ores et déjà' pour les personnages cinégéniques des fabuleux Triangle et Carré.
Un recueil urbain, contemporain et original dont j’ai adoré l’atmosphère et la poésie des couleurs.
Je prédis de grandes et belles choses à ce très jeune auteur de 23 ans - foi d’Ogresse !
Lu dans le cadre du Challenge de la nouvelle de Sabbio:
La note de L'Ogresse: