Tout près de chez moi, au 43 boulevard Berthier, la dernière maison de Georges Rodenbach. Le poète et romancier du silence, du blanc et de la mort est venu mourir là, aux confins de la ville, aux limites de la banlieue. Passant devant sans la voir, durant des années, je devais bien grâce à l'aide de Manon, lui consacrer quelques photos et un billet.
"Dans son cabinet de travail clair, joyeux de vaste lumière, que n'encombrent pas les meubles inutiles – à peine quelques bibelots sur la cheminée du style le plus moderne – dans son cabinet de travail où il recevait le dimanche," Jean de La HireGeorges Rodenbach dans Livrenblog : Préface à Au Fil du rêve de Frédéric Saisset. Georges Rodenbach par Jean de La Hire.