Les Géôles du Diable

Genre: horreur (interdit aux - 12 ans)
année: 2009
durée: 1h15

l'histoire: Une détenue de prison est malmenée par les autres résidentes. Mais elle reçoit d'étranges figurines sud-américaines qui ne tarderont pas à prendre vie pour la venger.

la critique d'Alice In Oliver:

Charles Band est un habitué du nanar et des productions fauchées et douteuses. Entre autres, on lui doit la saga Puppet Master, Hideous, Poupées Démoniaques, ou encore Blood Dolls...
Bref, le cinéaste semble avoir une passion pour tout ce qui touche aux marionnettes et aux poupées... Chacun ses petits problèmes !
Charles Band signe à nouveau un film d'horreur avec une poupée, les Géôles du Diable. Enfin... Poupée... Ce n'est pas totalement exact.

Il s'agit plutôt d'une figurine censée résoudre les problèmes d'une jeune femme incarcérée et injustement séparée de sa petite fille.
Une fois derrière les barreaux, elle doit faire face à d'autres prisonnières jalouses et tortionnaires, sans compter un taulier sadique qui la viole avec un gode-ceinture (véridique !).
Bientôt, la détenue fait appel aux pouvoirs mystérieux de la figurine qui prend alors le contrôle de son esprit.

Elle se venge alors de tous ceux qui lui ont fait du mal. Elle découvre également que son violeur n'est autre qu'une femme qui essaie de se faire opérer.
Bref, les Géôles du Diable n'a pas peur du ridicule... Et ce, pour notre plus grand bonheur ! A se demander ce qui traîne dans le cerveau nanardeux de Charles Band pour signer de telles ignominies.

Note: