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En côte d'ivoire, des militaires accuses d'executions sommaires;

Publié le 14 août 2011 par Wil1953

Salut !

J'espère que vous vous portez bien !

Que vous allez faire attention, si aujourd'hui vous prenez la route pour partir en vacances ou en revenir ?

D'ailleurs, je vais essayer de vous mettre deux ou trois vidéos, images qui vous feront réfléchir, avant de "prendre" la route.

Mais en attendant ....

Les "nombreuses violations des droits de l'Homme" ont impliqué "principalement" des éléments identifiés par des habitants et victimes comme appartenant aux Forces républicaines (FRCI), a-t-il poursuivi.

Les 26 personnes exécutées, parmi lesquelles un enfant de 17 mois, ont été tuées notamment dans des villages proches d'Abidjan, de Duékoué (ouest, théâtre de tueries en mars) et de Daloa (centre-ouest), des régions peuplées de nombreux partisans de l'ex-président Laurent Gbagbo.

Ces exécutions ont été attribuées "aux éléments des FRCI, aux membres de la confrérie des Dozos (chasseurs traditionnels)" qui les appuient et "aux miliciens gueré" pro-Gbagbo, a précisé M. Ngefa.

"Huit fosses communes ont été découvertes aux alentours de trois établissements scolaires" à Abidjan dans le quartier de Yopougon (ouest, fief de M. Gbagbo), a-t-il encore déclaré, sans pouvoir préciser le nombre de corps enterrés.

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Du 11 juillet au 10 août, "26 cas d'exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires" et "85 cas d'arrestations arbitraires et de détentions illégales" ont été relevés, a annoncé lors d'un point presse Guillaume Ngefa, en charge des droits de l'Homme au sein de la mission de l'ONU (Onuci).

Composées alors essentiellement d'ex-rebelles nordistes, les FRCI ont, avec l'aide de la France, arrêté Laurent Gbagbo le 11 avril après quatre mois de crise post-électorale et deux semaines de guerre. Les Forces républicaines sont désormais le nom de la nouvelle armée où les ex-belligérants sont en cours d'unification.

La situation sécuritaire s'est nettement améliorée ces derniers mois, en particulier dans la capitale économique Abidjan, mais les FRCI sont régulièrement accusées d'exactions, exécutions, violences ou pillages.

La crise née du refus de M. Gbagbo de reconnaître sa défaite à la présidentielle de novembre 2010 a fait au moins 3.000 morts.

MÊME LES BEBES NE SONT PAS EPARGNES ! QUELLE TRISTESSZE ! QUELLE BASSESSE !

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Les 26 personnes exécutées, parmi lesquelles un enfant de 17 mois, ont été tuées notamment dans des villages proches d'Abidjan, de Duékoué (ouest, théâtre de tueries en mars) et de Daloa (centre-ouest), des régions peuplées de nombreux partisans de l'ex-président Laurent Gbagbo.

Ces exécutions ont été attribuées "aux éléments des FRCI, aux membres de la confrérie des Dozos (chasseurs traditionnels)" qui les appuient et "aux miliciens gueré" pro-Gbagbo, a précisé M. Ngefa.

"Huit fosses communes ont été découvertes aux alentours de trois établissements scolaires" à Abidjan dans le quartier de Yopougon (ouest, fief de M. Gbagbo), a-t-il encore déclaré, sans pouvoir préciser le nombre de corps enterrés.

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Du 11 juillet au 10 août, "26 cas d'exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires" et "85 cas d'arrestations arbitraires et de détentions illégales" ont été relevés, a annoncé lors d'un point presse Guillaume Ngefa, en charge des droits de l'Homme au sein de la mission de l'ONU (Onuci).

Composées alors essentiellement d'ex-rebelles nordistes, les FRCI ont, avec l'aide de la France, arrêté Laurent Gbagbo le 11 avril après quatre mois de crise post-électorale et deux semaines de guerre. Les Forces républicaines sont désormais le nom de la nouvelle armée où les ex-belligérants sont en cours d'unification.

La situation sécuritaire s'est nettement améliorée ces derniers mois, en particulier dans la capitale économique Abidjan, mais les FRCI sont régulièrement accusées d'exactions, exécutions, violences ou pillages.

La crise née du refus de M. Gbagbo de reconnaître sa défaite à la présidentielle de novembre 2010 a fait au moins 3.000 morts.

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