Et puis j’ai poursuivi mes lectures. Et j’ai ouvert Inverno de Hélène Frappat qui sort en ce mois d’août chez Actes Sud.Et là qu’ai-je donc trouvé ?
Un texte court très bien écrit, sur deux destins parallèles de femmes, à une génération de distance. Une écriture, une signature, rien à dire.
A noter : ne m’a pas passionné, mais là, pour le coup, on est bien loin du pavillon à papa, de Facebook.
Disons, que c’est un roman sépia, particulièrement bien écrit. Teintée de nostalgie - d’où le sépia.C’était un bon moyen de lutter contre la météo du mois de juillet, ou plutôt de l'accepter sereinement.C'était un bon moyen d'accepter que les heures passent...tranquilles.
«Pourtant, qui a goûté au poison ambigu et douceâtre de la nostalgie sait qu’elle ne nous lâche pas (...)»
Des phrases belles à s’en faire des parures pour les soirées sépias où on l’on convoquerait le vague à l’âme pour se souvenir....des grandes choses, celles qui nous dépassent.
Sans les mots cela donnerait à peu près cela, en musique