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REVIEW : Ancestors, Invisible White.

Publié le 01 septembre 2011 par Vargasama

REVIEW : Ancestors, Invisible White.

Ancestors

Invisible White

Tee Pee Records (2011)

Voilà maintenant deux ans que Ancestors nous ont offert la merveille qu’est « Of Sound Mind », album d’une diversité exemplaire, virevoltant entre rock progressif, postcore, doom ou rock psyché.

C’est avec le Ep « Invisible White » que le quintet originaire de L.A nous revient.

REVIEW : Ancestors, Invisible White.

« Invisible White » est composé de trois titres plus directs, plus facile d’accès, largement orientés rock prog’. A la fois magnifiquement composés et superbement interprétés, les trois titres que sont « Invisible White », « Dust » et « Epilogue » nous bercent d’une façon admirable proche de l’univers 70′s de groupes mythiques tels que Pink Floyd ou King Crimson.

Loin d’être pompeux, cet Ep est bel et bien l’œuvre de Ancestors et cela se sent.

Le titre « Invisible White », vocalement d’une beauté saisissante, servie par des synthé psyché très typés, ouvre de la meilleure manière qui soit cet Ep, d’une grandeur émouvante, le titre surprend par sa simplicité.

En effet après la démonstration de force réalisée sur l’album « Of Sound Mind », il est à la fois bon et étonnant de retrouver une telle candeur dans cet Ep.

« Dust » nous rappel par moment les envolées mythiques des plus grands groupes prog’ rock des années 70. Sans jamais en faire trop, Ancestors réussit à nous envelopper totalement dans son univers musical, chaleureux et mélancolique.

« Epilogue » clôture donc à juste titre cet Ep. D’emblée plus sombre, plus puissant que les autres titres, le morceau n’en reste pas moins fidèle à l’atmosphère générale du disque. Un titre un peu plus « rentre dedans », servie pas des mélodies « floydesques » et des envolées jouissives frisants la perfection.

REVIEW : Ancestors, Invisible White.

Écouter « Invisible White », c’est un peu comme voyager dans le temps tout en restant assis dans son fauteuil.

Je pourrais enchaîner les superlatifs pour vous donner plus qu’envie d’écouter ce disque, mais je n’en ferai point. J’espère simplement que vos esprits curieux vous imploreront de découvrir cet Ep au risque, dans le cas contraire, de passer à côté de trois titres apothéotiques.


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