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Avec Conan le barbare, les Israéliens partent à l’assaut des majors américaines

Par Mickabenda @judaicine

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Depuis 2006, NU IMAGE/MILLENIUM FILMS cherche à entrer dans la cour des grands en investissant davantage de fonds dans la conception de films plus ambitieux ou imposants.

Cette nouvelle mouture de CONAN THE BARBARIAN, leur seconde production en 3D après DRIVE ANGRY s’inscrit parfaitement dans cette volonté de la compagnie israëlienne à vouloir faire compétition aux Majors de Hollywood.

Sans affirmer que la compagnie MILLENIUM FILMS a livré ici un divertissement haut-de-gamme, il faut admettre qu’elle a su y mettre un sens du fini que l’on n’aurait probablement pas retrouvé dans une version produite par sa défunte ancêtre: CANNON GROUP INC.

Les auteurs ont clairement cherché à respecter fidèlement le plus possible l’imaginaire de l’oeuvre originelle de Robert E. Howard et son adaptation en BD par MARVEL COMICS.

De ce fait, ils n’ont pas cherché à étendre la portée du personnage principal qui était déjà sur papier taillé tout d’un pièce, et dont l’ambition se résume en cette simple ligne dans le dialogue: « Je vis, j’aime, je tue! Ça me suffit! ».

Pas surprenant donc que les scènes d’affrontements occupent la majeure partie du film, si bien que la mise en scène techniquement au point et visuellement travaillé de Marcus Nispel se montre tout de même plus virile que subtile.

L’histoire : Pour Conan, le légendaire guerrier cimmérien, ce qui avait commencé comme une vengeance personnelle va se muer en combat épique pour sauver Hyboria d’une puissance maléfique surnaturelle. Face à ses ennemis, aux terrifiantes créatures et aux épreuves d’exception qui l’attendent, Conan va peu à peu comprendre qu’il est l’ultime espoir d’un peuple…


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