. La deuxième journée des séries mondiales de la coupe de l'America a tourné au rodéo aquatique, dimanche, à Plymouth. Des rafales à 35 nœuds et une mer moutonneuse ont animé les régates et provoqué les chavirages de trois catamarans AC45, le nec plus ultra en matière de multicoques de course, dont celui de la Team Korea Draper, l’équipe sud-coréenne, skippée par Chris Draper, dont certains membres ont failli tomber à l’eau. Cette escale, choisie au cœur de l’un des ports les plus emblématiques de l’histoire maritime britannique, accueille des milliers de personnes pendant neuf jours. " title="Pour tous les goûts et les humeurs...." />
. La deuxième journée des séries mondiales de la coupe de l'America a tourné au rodéo aquatique, dimanche, à Plymouth. Des rafales à 35 nœuds et une mer moutonneuse ont animé les régates et provoqué les chavirages de trois catamarans AC45, le nec plus ultra en matière de multicoques de course, dont celui de la Team Korea Draper, l’équipe sud-coréenne, skippée par Chris Draper, dont certains membres ont failli tomber à l’eau. Cette escale, choisie au cœur de l’un des ports les plus emblématiques de l’histoire maritime britannique, accueille des milliers de personnes pendant neuf jours. " border="0" />
La deuxième journée des séries mondiales de la coupe de l'America a tourné au rodéo aquatique, dimanche, à Plymouth. Des rafales à 35 nœuds et une mer moutonneuse ont animé les
régates et provoqué les chavirages de trois catamarans AC45, le nec plus ultra en matière de multicoques de course, dont celui de la Team Korea Draper, l’équipe sud-coréenne,
skippée par Chris Draper, dont certains membres ont failli tomber à l’eau. Cette escale, choisie au cœur de l’un des ports les plus emblématiques de l’histoire maritime
britannique, accueille des milliers de personnes pendant neuf jours.
Visa d'or. Une bonne photo de presse est celle qui parvient à raconter une histoire et l’Histoire en un coup d’oeil ; sans un mot, sans artifice, avec de l’émotion. Prise en mars dernier dans le camp des insurgés libyens de Ras Lanouf, celle-ci fait partie d’un reportage de huit mois suffisamment emblématique du genre pour avoir été récompensé par le visa d’or au dernier Festival de la photo de presse de Perpignan. Son auteur est un photoreporter russe de 48 ans qui a couvert plus de conflits qu’un général de l’Otan. Après la Russie, la Tchétchénie, l’Irak, le Yémen et la Libye, Yuri Kozyrev vient d’ailleurs d’emménager au Caire, en plein cœur de la zone où s’écrit désormais l’Histoire. " title="Pour tous les goûts et les humeurs...." />
Visa d'or. Une bonne photo de presse est celle qui parvient à raconter une histoire et l’Histoire en un coup d’oeil ; sans un mot, sans artifice, avec de l’émotion. Prise en mars dernier dans le camp des insurgés libyens de Ras Lanouf, celle-ci fait partie d’un reportage de huit mois suffisamment emblématique du genre pour avoir été récompensé par le visa d’or au dernier Festival de la photo de presse de Perpignan. Son auteur est un photoreporter russe de 48 ans qui a couvert plus de conflits qu’un général de l’Otan. Après la Russie, la Tchétchénie, l’Irak, le Yémen et la Libye, Yuri Kozyrev vient d’ailleurs d’emménager au Caire, en plein cœur de la zone où s’écrit désormais l’Histoire. " border="0" />
Une bonne photo de presse est celle qui parvient à raconter une histoire et l’Histoire en un coup d’oeil ; sans un mot, sans artifice, avec de l’émotion. Prise en mars
dernier dans le camp des insurgés libyens de Ras Lanouf, celle-ci fait partie d’un reportage de huit mois suffisamment emblématique du genre pour avoir été récompensé par le
visa d’or au dernier Festival de la photo de presse de Perpignan. Son auteur est un photoreporter russe de 48 ans qui a couvert plus de conflits qu’un général de l’Otan.
Après la Russie, la Tchétchénie, l’Irak, le Yémen et la Libye, Yuri Kozyrev vient d’ailleurs d’emménager au Caire, en plein cœur de la zone où s’écrit désormais l’Histoire.
(Yuri Kozyrev/Noor)
Sacre bleu !
Alors la grande Dame
On s'est foutu les doigts dans la prise
électrique LED du bon Dieu.......
Sacre bleu ! Ce cliché est un rêve de photographe. Presque impossible à saisir – le dernier du genre, en noir et blanc, remonte à 1902 –, il est spécialement superbe : la tour était alors revêtue d’un bleu électrique idéal, le ciel d’orage n’était même pas laiteux, et l’éclair a évité la flèche pour traverser toute la structure avant de la frapper en plein cœur. Il fallait un énorme coup de chance, et c’est un photographe amateur qui l’a eu. Sa photo fera donc sûrement le tour du monde, en propageant la réputation de «paratonnerre géant de Paris» qu’avait déjà la tour
Eiffel. Alors qu’en fait, ce monument ne protège contre la foudre que dans un rayon égal à sa hauteur, soit 324 mètres. " title="Pour tous les goûts et les humeurs...." />
Sacre bleu ! Ce cliché est un rêve de photographe. Presque impossible à saisir – le dernier du genre, en noir et blanc, remonte à 1902 –, il est spécialement superbe : la tour était alors revêtue d’un bleu électrique idéal, le ciel d’orage n’était même pas laiteux, et l’éclair a évité la flèche pour traverser toute la structure avant de la frapper en plein cœur. Il fallait un énorme coup de chance, et c’est un photographe amateur qui l’a eu. Sa photo fera donc sûrement le tour du monde, en propageant la réputation de «paratonnerre géant de Paris» qu’avait déjà la tour Eiffel. Alors qu’en fait, ce monument ne protège contre la foudre que dans un rayon égal à sa hauteur, soit 324 mètres. " border="0" />
cliché est un rêve de photographe. Presque impossible à saisir – le dernier du genre, en noir et blanc, remonte à 1902 –, il est spécialement superbe : la tour
était alors revêtue d’un bleu électrique idéal, le ciel d’orage n’était même pas laiteux, et l’éclair a évité la flèche pour traverser toute la structure avant de la
frapper en plein cœur. Il fallait un énorme coup de chance, et c’est un photographe amateur qui l’a eu. Sa photo fera donc sûrement le tour du monde, en propageant la
réputation de «paratonnerre géant de Paris» qu’avait déjà la tour Eiffel. Alors qu’en fait, ce monument ne protège contre la foudre que dans un rayon égal à sa hauteur,
soit 324 mètres.
(Kulik/Caters News Agency/SIPA)