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Michael Koryta – Une heure de silence

Par Pikkendorff

Michael Koryta – Une heure de silence

Au bout d’une seule journée de boulot sur le dossier, l’une des dernières figures de la pègre en Ohio se tenait dans ton salon. Cela ne t’a pas suffi comme panneau DANGER ?

Michael Koryta – Une heure de silence

Voici un honnête roman policier avec le sympathique détective privé, Lincoln Perry, acceptant d’enquêter sur l’inquiétante disparition des époux Cantrell.  Immédiatement cette piste froide de douze années se révèle particulièrement dangereuse et les bas-fonds de la Little Italy de la froide et humide Cleveland montrent les dents.

Un polar blues à écouter au son de Cold trail blues (Peter Case) qui,

Michael Koryta – Une heure de silence

 avec 6 ou 7 accélérations rythmiques au gré des révélations qu’il ne sied pas de développer ici, entretient un suspens captivant.

Une belle maitrise technique, des personnages riches et une histoire complexe bien traduite par Frédéric Grellier.

Sortant tout juste du merveilleux roman littéraire d’Akira Yoshimura, “Le convoi de l’eau, il me fallut une demi-heure pour m’habituer au style personnel de Michael Koryta avec ses phrases courtes et hachées. Et puis je me laisse emporter par cet agréable voyage.

Michael Koryta – Une heure de silence

Paru en 2009 sous le titre original “The silent hour, traduit par Frédéric Grellier.  J’ai lu ce roman dans le cadre du concours du Policier Seuil de BABELIO

Edition du Seuil, Policier, 2001, 21,50€, 362 pages

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