Chuck – Episode 5.02

Chuck versus the bearded bandit

Saison 5, Episode 2 sur 13
Diffusion vo: NBC – 4 novembre 2011

Chuck se retrouve à devoir surveiller et guider Morgan alors que les affaires sont dures pour Carmichael Industries qui a pour mission de récupérer le beau Justin Hartley.

Ah Justin Hartley … J’ai vu son nom dans les crédits et j’étais persuadé qu’il allait faire la pub du Buy More torse nu. Et non. Déçu déçu déçu. Pire, on ne le voit quasiment pas et en plus, il a un doigt en moins. Ca va être moins facile de tirer à l’arc pour défendre Métropolis torse nu dans sa belle tenue d’archer vert maintenant. Nan mais vraiment, prendre Justin Hartley et ne pas savoir utiliser son atout principal qui est sa tablette de chocolat, c’est quand même honteux !!!

Je ne comprends pas pourquoi il n'attend pas tranquillement TORSE NU !

Donc, Carmichael Industries doit trouver du boulot, un boulot qui consiste à récupérer Oliver Queen pour le compte de Frank Lapidus de Lost sans chemise hawaiienne (grosse faute de goût d’oublier ce type de chemise). La mission reste finalement secondaire. Elle est surtout le moyen de frustrer Morgan et de pousser de façon peu subtile vers un cliffhanger de fin que j’ai vu venir dès que Sarah va rendre visite à la femme de la matrice, Carrie-Anne Moss qui porte ici un prénom que la décence m’interdit de prononcer parce qu’il est anti sexy à mort. Miss Verbanski fera l’affaire pour désigner cette « special guest star ».

Il était évident dès ce moment que le second dossier n’était pas celui de Casey. D’ailleurs, l’insistance sur ce second dossier est trop lourde même si cela offre de bons moments avec Casey qui est tout perturbé dans son pantalon par la réapparition de celle qui l’a vaincu en 95. Casey illustre d’ailleurs bien le paradoxe de l’épisode. Il délivre d’excellents moments tout en étant affreusement poussif.

Morgan avec l’intersecret reste à mon sens une mauvaise idée et partir sur la direction de la folie est finalement logique et prévisible. Il a été suffisament établi lors des 4 premières saisons qu’il fallait un esprit particulier pour gérer l’intersecret et même avec l’esprit adéquat, la folie était un vrai risque, Chuck ayant d’ailleurs un passage folie en fin de saison 3. L’évolution de Morgan dans la folie est donc normale mais son exécution est assez lourde. On a juste envie de lui mettre une bonne grosse paire de baffe à ce fils spirituel de Chuck the man Norris qui a maintenant le même coup de pied en plus de la barbe identique qu’il porte fièrement depuis 5 ans. Morgan est juste énervant tout au long de l’épisode et les 5 dernières minutes sont particulièrement longues avec le fait qu’il change mentalement avec le cliffhanger sans surprise de sa présence chez Verbanski. Dès que Casey lui téléphone, on sait qu’elle est fce à Morgan. Du coup, la réalisation en fait 15 tonnes pour instaurer un suspens qui n’a pas lie ud’être. En plus, il aurait été un poil plus percutant si on s’arrêtait de suite sur l’image de Morgan, plutôt que de casser le suspens sur sa présence où il est clair qu’il n’est pas là dans un plan quelconque de Carmichael pour prouver qu’ils sont meilleurs que Verbanski.

Et voici Captain Trop Hot ! So sexyyyyy !

Mais comme je le disais, à coté de celà, il y a pleins d’excellentes scènes. Tout Casey est fantastique, que cela soit son moment rêverie lors de l’escalade ou sa timidité au téléphone. J’ai bien aimé aussi que Yvonne fasse un peu de muscu et ait enfin des bras dignes d’un espion. C’est plus logique comme cela et elle reste tout aussi féminine et agréable à l’oeil,  graphiquement parlant.

Tout le Buy More était bon aussi. La vidéo de Big Mike dans les 70ies est géniale. On a même failli voir le figurant star des productions américaines dire un mot. Globalement, j’étais très satisfait de l’intrigue Buy More qui limite la présence de Lester et offre Jeff torse nu. Toujours un grand moment que la pilosité pectorale de la star de Transformers 3.

Bref, 7/10

J’ai passé un bon moment avec Chuck. La poussivité de l’intrigue visible à des kilomètres est bien compensée par de nombreux moments fun. Mais quelle faute de goût de ne pas avoir mis Justin Hartley torse nu … Impardonnable quoi.