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Défenseurs des animaux un coeur ou deux coeurs?

Par Ladygalga @ladygalga

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NON AIMER LES ANIMAUX CE N’EST PAS OUBLIER LES HOMMES,

NOUS ESSAYONS JUSTE D’ ETRE LA VOIX DE CES ETRES SILENCIEUX .

Je souhaite répondre à certains qui disent:

   « pour vous les défenseurs de la cause animale il n’y  en a  que pour eux »

On peut aimer les animaux sans être classé de misanthrope ou que l’on pense

que cela relève d’une pathologie mentale !!

 je n’ai pas 2 cœurs un pour l’homme et un pour les animaux.

J’ai un cœur, basta et il bat pour tous les êtres vivants.

Avons nous oublié nos origines et le dénie que nous en faisons.

Nous sommes pour beaucoup trop éloignés de la nature .

En faisant ce retour à la nature nous deviendrions tous certainement plus humains.

Nous pouvons constater hélas qu’une certaine catégorie d’individus  n’a pas évoluée depuis le philosophe Descartes en 1630 qui supposait que l’animal était sans âme

donc dépourvu de conscience et du ressenti de la  douleur. Les animaux étaient alors

assimilés à des machine allant même à dire que le cri qu’il pouvait émettre

dans une situation critique n’était un réflexe comme le ferait le bip d’une machine.

L’avantage de cette position, est qu’elle justifie encore aujourd’ hui  l’usage intensif et l' exploitation sans ménagement des animaux pour le travail  et la nourriture.

De ce fait  tuer un animal se résulte à casser une machine, ce qui n’est pas condamnable

 de ce point de vue simpliste.

Alors oui nous partons en guerre contre cela avec rage et mobilisation.

Nous les détruisons, les mangeons et les chérissons tour à tour à la fois !!

nous ne sommes pas logique?

Alors OUI il y a des défenseurs actifs qui vouent leur vie à ces animaux

sans voix pour se plaindre, et qui en font certainement un peu trop parfois,

emportés par des  élans altruistes envers eux.

Mais NON nous n’oublions pas notre prochain pour autant.

Pour preuve j'ai passé tout à l'heure sur mon facebook" Patricia Galga" encore une vidéo

d'un appel d'un père qui hurle sa douleur contre l' injustice d'une petite

condamnation des assassins de son fils de 20ans.


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