comme j'habitais au dernier étage et qu'il n'y avait pas de vis-à-vis sur le pallier, je pouvais lire quand on m'avait coupé l'électricité! j'art de vivre du pauvre est fait de petits arrangements. je m'asseyais sous le bouton de la minuterie. j'avais aussi une bougie, insuffisante, mais qui permettait de continuer la lecture quand la lumière s'éteignait, durant le laps de temps nécessaire à lever le bras pour appuyer sur le bouton: geste qui devint vite automatique...