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King Kong contre Godzilla

Publié le 11 novembre 2011 par Olivier Walmacq

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Genre: science fiction
Année: 1962
Durée: 1H20

L'histoire: Une expédition découvre King Kong sur son île et le ramène au Japon, le but étant de se débarrasser de Godzilla, qui décime tout sur son passage.

La critique d'Alice In Oliver:

Certes, Ishiro Honda peut se targuer d'avoir réalisé un véritable classique du film de monstre, avec le premier Godzilla en 1954.
Fan absolu du genre, Ishiro Honda signera d'autres bisseries avec le dinosaure. Au hasard, on pourra citer Le fils de Godzilla.
En 1962, Ishiro Honda décide de proposer le combat ultime, avec King Kong contre Godzilla. Il était temps de faire affronter ces deux titans du cinéma !

C'est d'ailleurs le seul intérêt de King Kong contre Godzilla. Certes, le concept peut paraître loufoque, d'autant plus que le scénario contient de nombreuses maladresses. Attention, SPOILERS !
Le Japon est à nouveau menacé par Godzilla, libéré par accident d'un iceberg. Le monstre détruit tout sur son passage et menace évidemment les populations humaines.

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Le gouvernement japonais envisage même d'utiliser la bombe atomique. Mais un scientifique propose une solution beaucoup plus farfelue.
Le but serait de capturer King Kong sur son île, de ramener le gorille au Japon et de faire affronter les deux colosses.
De ce fait, le gouvernement ferait d'une pierre deux coups !

Et devinez quoi ? Les militaires optent pour la seconde option ! Bienvenue pour un véritable festival nanardeux et de grand n'importe nawak !
Pourtant, la premier combat entre les deux monstre est plutôt décevant, King Kong se montrant impuissant face aux jets de flamme de l'ami Godzilla.
Le gorille s'enfuit. Qu'à cela ne tienne, les scientifiques découvrent que King Kong devient beaucoup plus puissant en présence d'énergie électrique.

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Coup de bol ou heureuse coïncidence, la seconde confrontation entre les deux titans se déroulera un soir d'orage (quand je disais que le scénario était idiot...), King Kong devenant ainsi une bête féroce et sauvage.
Et cette fois, le combat tient toutes ses promesses, entre prises de catch, techniques de judo et coups de tatane.
Bref, le film délivre largement la marchandise, même si on note quelques moments de vide, les acteurs étant livrés à eux-mêmes.
Ceux qui aiment ce genre de production incroyablement stupide seront aux anges, les autres pourront largement passer leur chemin.

Note: 04/20
note nanardeuse: 16.5/20


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