Les beaux livres que j’aime, les grands classiques sont profonds mais simples. Ils recherchent la clarté, pas la complication. Un bon auteur respecte ses propres idées,sa langue et ses lecteurs. sans s’aplatir au niveau zéro de la mode. C’est lui qui crée et impose sa manière. Choquer pour choquer me déplaît.
Ces critères de jugement posés, voici les livres que je n’ai pas su apprécier ni même terminer.

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David Servan-Schreiber : On peut se dire au revoir plusieurs fois. C’était bien parti et j’ai apprécié sa volonté de combattre et de vivre. J’ai encore avec moi ses livres précédents mais un post-it à la page 97 m’indique que je n'ai pas fini, celui-ci. Trop, c’est trop. Je ne continuerai pas. J’abandonne: «Cultiver la gratitude, Moments précieux, La tentation de Lourdes, Aborder le tabou, Testament jubilatoire, Le souffle d’Emily, Lumière blanche,» et autres chapitres.
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Etant une fan de Bret Easton Ellis, ce n'est pas tant le côté trash qui m'a dérangée que l'ennui ressenti devant le vide de ce personnage qui ne rêve que de se transformer en serial killer et de coucher avec de très jeunes filles. Second degré peut-être mais qui a fini par me lasser tellement les actions sordides sont répétitives.
Dommage! Pour une fois qu'on me dédicaçait un livre!
Il y en a d'autres mais ce billet est déjà trop long et je me suis lassée, donc stop. "La belle amour humaine" de Lyonel Trouillot m'attend.