Magazine Beaux Arts

C'est vous qui voyez....

Publié le 21 novembre 2011 par Marigotine

 

    Choquant, insultant, blasphématoire....

   Peut-être le tout à la fois mais c'est vous qui voyez!

Piss Christ, Andres Serrano

<b></div><i>Piss Christ</i>, Andres Serrano</b><br> Dernière œuvre en date à avoir suscité la polémique : celle de l’artiste américain Andres Serrano. La photographie, qui représente un crucifix plongé dans de l'urine, a été détruite dimanche dans un musée de la «Cité des Papes». Des associations catholiques intégristes avaient dénoncé une œuvre blasphématoire. Le cliché, daté de 1987, était présenté à la collection d'art contemporain Lambert dans le cadre d'une exposition anniversaire intitulée «Je crois aux miracles» prévue jusqu'au 8 mai et financée en partie par la municipalité, la région et l'État.Piss Christ, Andres Serrano
Dernière œuvre en date à avoir suscité la polémique : celle de l’artiste américain Andres Serrano. La photographie, qui représente un crucifix plongé dans de l'urine, a été détruite dimanche dans un musée de la «Cité des Papes». Des associations catholiques intégristes avaient dénoncé une œuvre blasphématoire. Le cliché, daté de 1987, était présenté à la collection d'art contemporain Lambert dans le cadre d'une exposition anniversaire intitulée «Je crois aux miracles» prévue jusqu'au 8 mai et financée en partie par la municipalité, la région et l'État." title="C'est vous qui voyez...." />Piss Christ, Andres Serrano
Dernière œuvre en date à avoir suscité la polémique : celle de l’artiste américain Andres Serrano. La photographie, qui représente un crucifix plongé dans de l'urine, a été détruite dimanche dans un musée de la «Cité des Papes». Des associations catholiques intégristes avaient dénoncé une œuvre blasphématoire. Le cliché, daté de 1987, était présenté à la collection d'art contemporain Lambert dans le cadre d'une exposition anniversaire intitulée «Je crois aux miracles» prévue jusqu'au 8 mai et financée en partie par la municipalité, la région et l'État." border="0" />
Dernière œuvre en date à avoir suscité la polémique : celle de l’artiste américain Andres Serrano. La photographie, qui représente un crucifix plongé dans de l'urine, a été détruite dimanche dans un musée de la «Cité des Papes». Des associations catholiques intégristes avaient dénoncé une œuvre blasphématoire. Le cliché, daté de 1987, était présenté à la collection d'art contemporain Lambert dans le cadre d'une exposition anniversaire intitulée «Je crois aux miracles» prévue jusqu'au 8 mai et financée en partie par la municipalité, la région et l'État. AFP

Mani Pulite, Gianni Motti


<b></div><i>Mani Pulite</i>, Gianni Motti</b><br> Autre artiste à avoir été sous le feu des critiques : le Suisse Gianni Motti, pour son œuvre intitulée <i>Mani Pulite</i> («Mains Propres»), qui représente un savon peu ordinaire, puisque celui-ci aurait été fabriqué à partir de la graisse de Silvio Berlusconi. Cette dernière aurait été récupérée dans une clinique suisse où le président du conseil italien aurait subi une liposuccion en 2004. Le savon de couleur blanchâtre, qui a été exposé à l’automne dernier au musée Migros d’art contemporain de Zurich mesure 1,80 cm de hauteur, 8,20 cm de longueur et 4,90 cm de largeur. La clinique a toujours réfuté qu’il s’agissait de la graisse de Silvio Berlusconi.Mani Pulite, Gianni Motti
Autre artiste à avoir été sous le feu des critiques : le Suisse Gianni Motti, pour son œuvre intitulée Mani Pulite («Mains Propres»), qui représente un savon peu ordinaire, puisque celui-ci aurait été fabriqué à partir de la graisse de Silvio Berlusconi. Cette dernière aurait été récupérée dans une clinique suisse où le président du conseil italien aurait subi une liposuccion en 2004. Le savon de couleur blanchâtre, qui a été exposé à l’automne dernier au musée Migros d’art contemporain de Zurich mesure 1,80 cm de hauteur, 8,20 cm de longueur et 4,90 cm de largeur. La clinique a toujours réfuté qu’il s’agissait de la graisse de Silvio Berlusconi." title="C'est vous qui voyez...." />Mani Pulite, Gianni Motti
Autre artiste à avoir été sous le feu des critiques : le Suisse Gianni Motti, pour son œuvre intitulée Mani Pulite («Mains Propres»), qui représente un savon peu ordinaire, puisque celui-ci aurait été fabriqué à partir de la graisse de Silvio Berlusconi. Cette dernière aurait été récupérée dans une clinique suisse où le président du conseil italien aurait subi une liposuccion en 2004. Le savon de couleur blanchâtre, qui a été exposé à l’automne dernier au musée Migros d’art contemporain de Zurich mesure 1,80 cm de hauteur, 8,20 cm de longueur et 4,90 cm de largeur. La clinique a toujours réfuté qu’il s’agissait de la graisse de Silvio Berlusconi." border="0" />  
Autre artiste à avoir été sous le feu des critiques : le Suisse Gianni Motti, pour son œuvre intitulée Mani Pulite («Mains Propres»), qui représente un savon peu ordinaire, puisque celui-ci aurait été fabriqué à partir de la graisse de Silvio Berlusconi. Cette dernière aurait été récupérée dans une clinique suisse où le président du conseil italien aurait subi une liposuccion en 2004. Le savon de couleur blanchâtre, qui a été exposé à l’automne dernier au musée Migros d’art contemporain de Zurich mesure 1,80 cm de hauteur, 8,20 cm de longueur et 4,90 cm de largeur. La clinique a toujours réfuté qu’il s’agissait de la graisse de Silvio Berlusconi. Wikimedia commons

Flying rats, Kader Attia

<b></div><i>Flying rats</i>, Kader Attia</b><br> Cette œuvre de l’artiste français, présentée en 2005 à la Biennale de Lyon, a choqué quelques visiteurs. <i>Flying rats</i> représentait 45 mannequins d’enfants, dont les corps étaient constitués de mousse et de graines et qui se faisaient dévorer dans une immense cage par des dizaines de pigeons vivants.Flying rats, Kader Attia
Cette œuvre de l’artiste français, présentée en 2005 à la Biennale de Lyon, a choqué quelques visiteurs. Flying rats représentait 45 mannequins d’enfants, dont les corps étaient constitués de mousse et de graines et qui se faisaient dévorer dans une immense cage par des dizaines de pigeons vivants." title="C'est vous qui voyez...." />Flying rats, Kader Attia
Cette œuvre de l’artiste français, présentée en 2005 à la Biennale de Lyon, a choqué quelques visiteurs. Flying rats représentait 45 mannequins d’enfants, dont les corps étaient constitués de mousse et de graines et qui se faisaient dévorer dans une immense cage par des dizaines de pigeons vivants." border="0" />  
Cette œuvre de l’artiste français, présentée en 2005 à la Biennale de Lyon, a choqué quelques visiteurs. Flying rats représentait 45 mannequins d’enfants, dont les corps étaient constitués de mousse et de graines et qui se faisaient dévorer dans une immense cage par des dizaines de pigeons vivants. AFP PHOTO/DON EMMERT
L.O.V.E., Maurizio Cattelan
<b></div><i>L.O.V.E.</i>, Maurizio Cattelan</b><br> L’œuvre de l’artiste italien Maurizio Cattelan, installée juste devant le palais Mezzanotte, le temple des marchés financiers de la péninsule italienne, a provoqué un bras de fer entre la Bourse de Milan et la municipalité. Mise en place le 24 septembre dernier, cette œuvre devait être enlevée le 4 janvier. Mais la mairie a finalement décidé qu'elle resterait jusqu'au 30 septembre prochain. Au grand dam de Consob, l'autorité qui supervise la Bourse. Le titre de la sculpture, <i>L.O.V.E.</i>, qui signifie «liberté, haine, vendetta et éternité», est un autre pied de nez de l’auteur, qui n'a fait qu'attiser la colère de ses détracteurs.L.O.V.E., Maurizio Cattelan
L’œuvre de l’artiste italien Maurizio Cattelan, installée juste devant le palais Mezzanotte, le temple des marchés financiers de la péninsule italienne, a provoqué un bras de fer entre la Bourse de Milan et la municipalité. Mise en place le 24 septembre dernier, cette œuvre devait être enlevée le 4 janvier. Mais la mairie a finalement décidé qu'elle resterait jusqu'au 30 septembre prochain. Au grand dam de Consob, l'autorité qui supervise la Bourse. Le titre de la sculpture, L.O.V.E., qui signifie «liberté, haine, vendetta et éternité», est un autre pied de nez de l’auteur, qui n'a fait qu'attiser la colère de ses détracteurs." title="C'est vous qui voyez...." />L.O.V.E., Maurizio Cattelan
L’œuvre de l’artiste italien Maurizio Cattelan, installée juste devant le palais Mezzanotte, le temple des marchés financiers de la péninsule italienne, a provoqué un bras de fer entre la Bourse de Milan et la municipalité. Mise en place le 24 septembre dernier, cette œuvre devait être enlevée le 4 janvier. Mais la mairie a finalement décidé qu'elle resterait jusqu'au 30 septembre prochain. Au grand dam de Consob, l'autorité qui supervise la Bourse. Le titre de la sculpture, L.O.V.E., qui signifie «liberté, haine, vendetta et éternité», est un autre pied de nez de l’auteur, qui n'a fait qu'attiser la colère de ses détracteurs." border="0" />
L’œuvre de l’artiste italien Maurizio Cattelan, installée juste devant le palais Mezzanotte, le temple des marchés financiers de la péninsule italienne, a provoqué un bras de fer entre la Bourse de Milan et la municipalité. Mise en place le 24 septembre dernier, cette œuvre devait être enlevée le 4 janvier. Mais la mairie a finalement décidé qu'elle resterait jusqu'au 30 septembre prochain. Au grand dam de Consob, l'autorité qui supervise la Bourse. Le titre de la sculpture, L.O.V.E., qui signifie «liberté, haine, vendetta et éternité», est un autre pied de nez de l’auteur, qui n'a fait qu'attiser la colère de ses détracteurs. AFP PHOTO/GIUSEPPE CACACE Les assassinats d’hommes célèbres, de Gil Vicente
<b></div>Les assassinats d’hommes célèbres, de Gil Vicente</b><br> Les grands dessins de l’artiste brésilien Gil Vicente ne pouvaient pas laisser les spectateurs de marbre, lors de la Biennale de Sao Paulo en septembre dernier. Il y met successivement en scène l’assassinat de personnalités de premier plan : le pape Benoît XVI (ci-dessus), la reine d’Angleterre, l’ancien président américain George W. Bush…Les assassinats d’hommes célèbres, de Gil Vicente
Les grands dessins de l’artiste brésilien Gil Vicente ne pouvaient pas laisser les spectateurs de marbre, lors de la Biennale de Sao Paulo en septembre dernier. Il y met successivement en scène l’assassinat de personnalités de premier plan : le pape Benoît XVI (ci-dessus), la reine d’Angleterre, l’ancien président américain George W. Bush…" title="C'est vous qui voyez...." />Les assassinats d’hommes célèbres, de Gil Vicente
Les grands dessins de l’artiste brésilien Gil Vicente ne pouvaient pas laisser les spectateurs de marbre, lors de la Biennale de Sao Paulo en septembre dernier. Il y met successivement en scène l’assassinat de personnalités de premier plan : le pape Benoît XVI (ci-dessus), la reine d’Angleterre, l’ancien président américain George W. Bush…" border="0" />  
Les grands dessins de l’artiste brésilien Gil Vicente ne pouvaient pas laisser les spectateurs de marbre, lors de la Biennale de Sao Paulo en septembre dernier. Il y met successivement en scène l’assassinat de personnalités de premier plan : le pape Benoît XVI (ci-dessus), la reine d’Angleterre, l’ancien président américain George W. Bush… AFP PHOTO/Mauricio LIMA Les cochons tatoués, Wim Delvoye
<b></div><i>Les cochons tatoués</i>, Wim Delvoye</b><br> L’exposition du plasticien belge Wim Delvoye, entre février et mai dernier, au musée d'art moderne et contemporain (Mamac) de Nice, mettant en scène sept cochons tatoués, a suscité l'indignation des défenseurs de la protection des animaux. L'artiste «utilise l'animal comme si c'était un simple objet», a dénoncé Didier Le Gall, vice-président du Mouvement écologiste indépendant (MEI) en charge de la condition animale, avant de déplorer «la souffrance que le tatouage, fait sous anesthésie légère, implique». «Sauvés de l’industrie agro-alimentaire, les porcelets sont anesthésiés pour être tatoués. De leur vivant, les bêtes sont choyées, traitées comme des stars, libres de leur mouvement et filmées en continu. Une fois mortes, elles sont naturalisées», s'était défendu le musée.Les cochons tatoués, Wim Delvoye
L’exposition du plasticien belge Wim Delvoye, entre février et mai dernier, au musée d'art moderne et contemporain (Mamac) de Nice, mettant en scène sept cochons tatoués, a suscité l'indignation des défenseurs de la protection des animaux. L'artiste «utilise l'animal comme si c'était un simple objet», a dénoncé Didier Le Gall, vice-président du Mouvement écologiste indépendant (MEI) en charge de la condition animale, avant de déplorer «la souffrance que le tatouage, fait sous anesthésie légère, implique». «Sauvés de l’industrie agro-alimentaire, les porcelets sont anesthésiés pour être tatoués. De leur vivant, les bêtes sont choyées, traitées comme des stars, libres de leur mouvement et filmées en continu. Une fois mortes, elles sont naturalisées», s'était défendu le musée." title="C'est vous qui voyez...." />Les cochons tatoués, Wim Delvoye
L’exposition du plasticien belge Wim Delvoye, entre février et mai dernier, au musée d'art moderne et contemporain (Mamac) de Nice, mettant en scène sept cochons tatoués, a suscité l'indignation des défenseurs de la protection des animaux. L'artiste «utilise l'animal comme si c'était un simple objet», a dénoncé Didier Le Gall, vice-président du Mouvement écologiste indépendant (MEI) en charge de la condition animale, avant de déplorer «la souffrance que le tatouage, fait sous anesthésie légère, implique». «Sauvés de l’industrie agro-alimentaire, les porcelets sont anesthésiés pour être tatoués. De leur vivant, les bêtes sont choyées, traitées comme des stars, libres de leur mouvement et filmées en continu. Une fois mortes, elles sont naturalisées», s'était défendu le musée." border="0" />  
L’exposition du plasticien belge Wim Delvoye, entre février et mai dernier, au musée d'art moderne et contemporain (Mamac) de Nice, mettant en scène sept cochons tatoués, a suscité l'indignation des défenseurs de la protection des animaux. L'artiste «utilise l'animal comme si c'était un simple objet», a dénoncé Didier Le Gall, vice-président du Mouvement écologiste indépendant (MEI) en charge de la condition animale, avant de déplorer «la souffrance que le tatouage, fait sous anesthésie légère, implique». «Sauvés de l’industrie agro-alimentaire, les porcelets sont anesthésiés pour être tatoués. De leur vivant, les bêtes sont choyées, traitées comme des stars, libres de leur mouvement et filmées en continu. Une fois mortes, elles sont naturalisées», s'était défendu le musée. AFP PHOTO/VALERY HACHE

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