Parfois, lorsqu’une personne sourde est engagée dans une entreprise et afin de faciliter son insertion, il est fait appel à un interprète en langue des signes (et non langage des signes comme est intitulé ce sketch) pour que les premiers échanges entre elle et ses collègues ou sa hiérarchie se passent pour le mieux. Cela permet de faire tomber les appréhensions des uns et des autres, d’éviter tout malentendu durant cette première journée.
On pourrait arguer que la vidéo ci-dessous est une démonstration par l’absurde, qu’elle montre justement ce qui se passe en absence d’un interprète. Mais, pour faire un mauvais jeu de mots, je dirais que ce serait « sur-interpréter » cette vidéo et il faut savoir rester modeste
.D’ailleurs je ne suis sûr que la présence d’un interprète en LSF – ou en langue des signes québécoise (LSQ) – aurait pu sauver la situation (et pour rien au monde j’aurais voulu être celui-là).