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La consolante et les déferlantes

Par Tsilia
Alors je continue de vous parler des anciens livres que j’ai lu, et dont je me souviens le mieux sans les avoir sous les yeux. Le premier, LA CONSOLANTE, d’Anna Gavalda, j’en avais entendu parler, beaucoup trop et vous me connaissez maintenant, quand les médias parlent trop d’un truc, je l’évite jusqu’à ce que je le croise dans un magasin et que je craque pour la couverture ! Mais, j’avais beaucoup aimé ENSEMBLE C’EST TOUT, du même auteur, et dont faudrait que je vous parle bientôt, donc je me suis laissée tenter. Ensuite, il y a LES DEFERLANTES de Claudie Gallay. Là, je me balladais dans un grand magasin de livres dont je tairais le nom, et j’ai vu la couverture, lu le résumé et emporté le livre. Bref, aller voir un peu plus en dessus pour avoir plus de précisions… Et toc ! La consolante, Anna Gavalda « Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d’une femme qu’il a connue quand il était enfant et adolescent. Dès l’annonce de cette nouvelle, il abandonne plans et projets, perd le sommeil et l’appétit, sans comprendre pourquoi. Commence alors un long travail de deuil. » Au début de ma lecture, j’ai été prise de suite dans l’univers qu’à construit Anna Gavalda. Le personnage de Charles est tendre, sensible, on sent qu’il est à deux doigts de sombrer à chaque instant et j’avais sans cesse envie de le secouer, de l’aider. On plonge dans son univers actuel, dans son passé &....

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