Comme nombre d'entre nous, j'ai toujours adoré Noël. Les vitrine, les illuminations partout, les guirlandes dans tous les magasins, les marchés de Noël, le pain d'épices, le vin chaud... le mois de décembre est définitivement mon préféré, avec ce qu'il inclut de joie un peu plaquée, de consumérisme forcené et d'espoirs déçus, parce que Noël ne ressemble jamais au Noël dont on a rêvé.
Une chose, cependant, manque dramatiquement à Noël : de quoi combler la téléphage que je suis. Le mois de décembre est celui qui statistiquement voit le moins de séries démarrer de par le monde, notamment sur la dernière quinzaine. C'est dramatique. Des souvenirs agréables de la télévision pendant la période des fêtes de fin d'année (qui pour moi commencent avec la Saint Nicolas ; de l'avantage de venir d'une famille venant en partie de l'Est), je n'en ai pas vraiment. Le seul que j'ai, c'est quand ma soeur et moi avons eu la VHS de Cats pour tuer le temps chez mes grands-parents pendant les fêtes de fin d'année, et une VHS ne compte pas vraiment dans ce contexte (surtout qu'il ne s'agissait pas d'une série).
C'est une nouvelle raison pour laquelle, quand je serai grande, je serai Suédoise (et je me fiche totalement d'entre autres être d'origine italienne et d'en avoir l'air, je serai Suédoise, point).
Voilà pourquoi :
Julkalender, une tradition de Noël venue du froid
Si on récapitule : l'un des pays que j'ai le plus envie de découvrir physiquement, linguistiquement, culturellement et téléphagiquement, ma période préférée de l'année, et des séries à profusion ? On n'est pas loin de mon idéal de Noël, en réalité.
Et un jour plus tôt, par-dessus le marché.
J'espère que vous aurez vous aussi envie de vous aventurer en Suède en ce 1er Décembre (et par la même occasion, en apprendre plus sur le Danemark ou la Norvège), et que vous pourrez commencer à vous plonger, vous aussi, dans l'esprit de Noël...