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Les Genevois aiment les frontalier(e)s

Publié le 06 décembre 2011 par Lababole

Un « ami facebook » m’a envoyé cette vidéo aujourd’hui. La question des frontaliers étant un de mes dadas, je ne peux m’empêcher de la partager également avec vous… avec, au-dessous, une « réponse » en rapport avec l’actualité locale (Bonneville – Haute Savoie).

Get the Flash Player to see the wordTube Media Player. (si vous connaissez les auteurs de ce sketch, n’hésitez pas, je les mentionnerai ici)il s’agit donc de Laurent Nicolet

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Céno Dessinateur - La Babole : Le Seven, club libertin à Bonneville accueille des frontaliers

(Source : Le Messager)

Le Seven, ouvert à l’angle de la place de l’Hôtel de Ville et de la rue du Carroz il y a un mois, se positionne sur le non-conformisme haut de gamme.

Nouvelle ambiance chic et coquine à Bonneville. Du restaurant gastronomique historique de Bonneville l’Eau Sauvage, au Seven, club discothèque libertin ouvert depuis un mois, le grand écart pourrait apparaître surprenant. Mais Patrick Guenon y voit une suite logique après une parenthèse Queen B de 10 mois.

Personnellement, mais aussi professionnellement. « J’ai toujours pensé que je ferai ça un jour ou l’autre, un lieu de bonne humeur, convivial. Je connais et j’apprécie cette communauté depuis plusieurs années. Quand j’ai arrêté la restauration, je m’étais dit que je ferai ça à mes 50 ans. Là, j’ai juste quelques années d’avance. »

« Personne n’est obligé à rien » : Le rapprochement épicé va plus loin, puisque Patrick vise le même type de clientèle. « Je ne dis pas que ce sont les mêmes personnes, mais c’est la même qualité de personnes. Nous visons une clientèle « d’exception » là aussi : des gens courtois, polis, ouverts d’esprit, qui apprécient la discrétion, viennent parfois de loin, certes en tenue peut-être plus glamour, mais je ne vais pas me plaindre. Il faisait plus chaud derrière les fourneaux ! » Des clubs libertins ou autrement appelés non-conformistes, la vallée n’en compte pas tant que cela.

Il y en a quatre dans le département, et ceux du côté Suisse sont relativement éloignés, plus proche de Lausanne que du canton de Genève. Quoi qu’il en soit, le patron du Seven repousse l’idée d’une concurrence directe avec les établissements proches.

Son positionnement est autre : l’ambiance intérieure se veut cosy, raffinée, celle d’un club lounge avant tout.

« C’est un endroit où des couples peuvent venir passer une soirée tranquille sans être obligés à rien. Certains viennent juste parce que c’est un lieu calme. Le respect de chacun est une règle à ne pas transgresser ! » La clientèle vient très peu de Bonneville. Beaucoup n’hésitent pas à faire de longs kilomètres pour venir.


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