When we were orphans (Quand nous étions orphelins) de Kazuo Ishiguro est un roman étrange. Situé dans l’entre-deux-guerres, il raconte à la première personne l’enfance shanghaienne de Christopher Banks, grand détective privé londonien.
Une histoire pleine de tendresse, de mystères et d’aventures (du type super héro à la mode des années 30). Des allers-retours entre l’Angleterre et la Chine, la folie de l’opium et la guerre qui pointe au loin.
Et, omniprésente, la nostalgie de l’enfance.
Il y a aussi des personnages complexes, naïfs et décalés auxquels j’avoue n’avoir pas compris grand-chose – des réponses sont amorcées sur la fin mais il reste dans mon esprit bien des points d’interrogation. J’ai refermé ce livre avec un sentiment de curiosité insatisfaite et une impression de gâchis.
Une déception donc après le fabuleux The remains of the day (Les vestiges du jour) et Never let me go (Auprès de moi toujours).
La note de L'Ogresse:
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble