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Sanja Ivekovic au MOMA de Nueva York

Publié le 16 décembre 2011 par Cardigan @onlyapartmentsF

Avant d’avoir la popularité qu’il a aujourd’hui envers les artistes contemporains voulant tous travailler avec l’art conceptuel, beaucoup d’artistes plastiques ont exploré des nouveaux recours, et des formes plus récents de diffusion médiatique pour questionner tant les systèmes politiques, que les constantes injustice sociale, et de genre en utilisant des moyens qui étaient distribué et étendues du mainstream : Ou a commencé le « big brother »commença le chemin pour un ajustement, et la répression, ces artistes ont trouvé des signé qui auraient pu poser des graves problèmes au système artistique.

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Les premiers conceptualisme des années 60, en particulier les catégories, et variantes de ce que aujourd’hui s’entend comme Fluxus n’a pas seulement eu un grand impact sociale, et politique quand observé depuis une certaine distance, mais a aussi réussi à changer les mentalité artistique grâce à la rupture, au questionnement de la galerie, et le musée.

Comme durant l’époque de l’Union Soviétique, et de la Guerre foire, beaucoup d’artistes comme le reste de l’Europe de l’Est ont exprimé leur mécontentement avec un pas imposants d’un système politique marqué par des carences de liberté, se forçait. Pour faire croire que la révolution était en marche. Parmi ces artistes, l’important Sanja Ivekovic se présente au MOMA, montrant ces processus, inhérents, et actuels dans son œuvre artistique.

“Sweet Violence” est le nom de cette exposition, la première dans un musée américain, de l’artiste née en Bosnie. Cette exposition est un effort symbolique, et contendant pour montrer la carrière de l’artiste. Ivekovic n’a pas seulement réalisé des travaux profondément en relation avec l’activisme, et le féminisme, mais aussi une pionnière des vidéos internationales. Sa carrière a traversé la vertigineuse décennie des années 60, ou de nombreuses barrières esthétiques comme académiques ont disparues, et l’importance du conceptualisme, et de l’art minimal via Fluxus, se convertissant comme icones du panorama international artistique. Les travaux de Sanja Ivekovic utilise des recours comme le photomontage, la vidéo, et la performance.

L’exposition présentée au MOMA à partir du 18 Décembre, proposera des vidéos, et différentes performances, comme “Sweet Violence” (1974) donnant le nom à l’événement, “Personal Cuts” (1982) y “Practice Makes a Master” (1982/2009). Il y aura aussi la série de photomontage “Double Life” (1975-1976), un des travaux les plus importants de l’artiste ou elle utilise une série de photographie personnelle, et les déconstruit, à travers l’utilisation de la publicité des revues pour femmes.

Comme Muntadas, autre représentant principale du conceptualisme, et de la vidéo de l’époque, Sanja Ivekovic s’appuie sur les médias de masse pour problématiser les mesures, et le formes de représentations du sujet, la condition du genre, et les marges effacées dans lesquelles l’œuvre d’art à un sens, et acquière un position de protagoniste dans la réalité contemporaine. Ses explorations ne sont pas très loin de la politique. Suite à la chute du mur de Berlin, et la désintégration de la Yougoslavie, Ivekovic développe son travail autour de cette transformation géographique. Dans sa complexité, elle intègre dans les processus de transformation d’une réalité socialiste à une autre qui ne le sera plus. De cette manière, les recours visuels qu’elle utilise dans son œuvre interrogent l’histoire, et ses processus sociaux, les rôles des genres, le pouvoir, et la mémoire collective. Pour plus d’informations concernant cette exposition, visiter le site officiel du MOMA de New York : http://www.moma.org

Alexa Ray Only-apartments Author
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