Magazine Cinéma

Les Enfants

Publié le 29 décembre 2011 par Olivier Walmacq

enfants

genre: comédie
année: 2004
durée: 1h25

L'histoire: Jeanne et Pierre se rencontrent. Ils sont tous ls deux divorcés et ont chacun deux enfants. Pas facile, pour l'un comme pour l'autre, de concilier leur amour et leurs enfants respectifs.

la critique d'Alice In Oliver:

L'air de rien, être un nanardeur et un tâcheron en puissance n'est pas chose aisée. Parfois, pour votre bon plaisir, l'auteur principal de ce blog nullissime est obligé de se taper des films encore plus nuls que ce site (oui, ça existe !).
Preuve en est avec Les Enfants, réalisés par Christian Vincent en 2004, une comédie familiale dans laquelle on retrouve Gérard Lanvin et Karin Viard.

Pour le reste, pas grand chose à dire devant ce mauvais film, servi par deux acteurs qui cabotinent joyeusement.
On le sait tous: même les grands acteurs (en l'occurrence, Gérard Lanvin) sont obligés d'accepter certains rôles pour se payer une nouvelle douche en argent.
Indéniablement, Gérard Lanvin semble peu concerner par son personnage. Comme on le comprend !

enfants_2004_reference0

Avec Les Enfants, Christian Vincent aimerait nous raconter la nouvelle dynamique des familles monoparentales.
Tel est le principal sujet de cette comédie incroyablement paresseuse et pauvre en gags. Tenir jusqu'au bout de cette purge dans les grandes lignes tient du véritable exploit. Attention, SPOILERS !

Un père de famille divorcé (Gérard Lanvin) tombe amoureux d'une belle jeune femme (Karin Viard), également divorcée.
Les deux tourtereaux aimeraient vivre ensemble et constituer un foyer. Hélas, leurs projets vont être contrariés par leurs enfants respectifs.
Et oui, ces derniers sont des mioches braillards et mal élevés qui vont mettre en difficulté Gérard Lanvin et sa nouvelle dulcinée.

enfants_2004_reference

A partir de là, le film ne repose que sur des chamailleries et des bêtises de jeunes gosses, pas vraiment heureux à l'idée de partager une nouvelle mère et/ou un nouveau père (tout dépend de quel point de vue on se focalise).
Vous avez baillé durant les explications de ce synopsis un peu stérile ? Rassurez-vous, c'est normal ! Bienvenue dans une comédie terriblement française, comme notre cher cinéma hexagonal sait en pondre à la douzaine chaque année !

Note: quand je dis non, c'est non !


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Olivier Walmacq 11545 partages Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Dossier Paperblog

Magazines