En digne héritier de Rabelais et de François Villon, Brassens qui, comme il le dit lui-même « lâche des pleines bouches de mots crus
», a toujours eu un faible pour les bons mots et les mots sonores. D’où la saveur de ses chansons et notamment de cette « ronde des jurons » que je livre en conclusion à ce petit « parcours
» à travers jurons et insultes !