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Enjeux contemporains de la littérature

Publié le 24 janvier 2012 par Ngmaestro

Jeudi 26 janvier : coup d’envoi des Enjeux contemporains de la littérature organisés par la Maison des écrivains et de la littérature. Plus de 30 auteurs au Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris du 26 au 29 janvier 2012. Entrée libre et gratuite
 
A l’occasion de ses 25 ans, et pour la 5ème édition de son festival littéraire, la Mel a souhaité mettre au cœur des réflexions, la puissance créatrice et ses multiples moteurs.


Écrire après tout, écrire malgré tout, écrire encore, reprendre, dérouter, transformer, lire, traduire, pour qu’il n’y ait point de terme possible.


La spécificité de ces rencontres est de réunir dans une interrogation commune, critiques (universitaire et média) et auteurs.
 
Avec les auteurs : Pierre Alferi, Marcel Benabou, Gisèle Berkman, Jean Bollack, Dimitri Bortnikov, Stéphane Bouquet, Nicolas Bourriaud, Patrick Bouvet, Marc Cholodenko, Philippe Claudel, Marcel Cohen, Jean-Yves Jouannais, Liliane Giraudon, Jean-Marie Gleize, Vincent Kaufmann, Patrick Kéchichian, Maylis de Kerangal, Linda Lê, Bertrand Leclair, Sophie Loizeau, Alain Nadaud, Marielle Macé, William Marx, Danielle Mémoire, Marius Daniel Popescu, Giorgio Pressburger, Jean Ristat, Tiphaine Samoyault, Pierre Senges, Brian Stock, Véronique Taquin, Camille de Toledo...


Et les critiques : Nils C. Ahl, Wolfgang Asholt, Claude Burgelin, Jean-Max Colard, Francesca Isidori, Oriane Jeancourt, Jean Kaempfer, Ronald Klapka, Laurent Loty, Jacques Munier, Alain Nicolas, Antoine Perraud, Pierre Schoentjes, Dominique Viart, Pierre Vilar.

« Pour la cinquième édition de son Festival littéraire, la Maison des écrivains et de la littérature a souhaité mettre au cœur des réflexions la puissance créatrice et ses multiples moteurs. Écrire après tout, écrire malgré tout, écrire encore, reprendre, dérouter, transformer, lire, traduire, pour qu’il n’y ait point de terme possible. Une contradiction, c’est une tension qui est au travail et qui fait d’une œuvre un foyer ou le point nodal d’une époque, c’est-à-dire aussi un champ où l’époque se déprend d’elle-même pour aller se rêver dans un futur, une utopie ou dans des vestiges. C’est avec ces mots que Jean-Christophe Bailly traitait de la « modernité » de Baudelaire, dans Harmony in red and green, texte
repris dans Panoramiques. À partir de cette question du moderne, sans cesse reprise, nous avons, à notre tour, tissé un réseau de propositions que nous invitons des écrivains à prendre en compte. Rappelons enfin que la spécificité de ces rencontres est de réunir, dans une interrogation commune, critiques (universitaires et media) et auteurs. Tous conduits en un même mouvement, à mettre en jeu la littérature contemporaine, selon cet art consommé du questionnement littéraire qui, lui aussi, est enjeu. »
Sylvie Gouttebaron Directrice de la Mel


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