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Christmas Evil

Publié le 05 février 2012 par Olivier Walmacq

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genre: horreur (interdit aux - 12 ans)
année: 1980
durée: 1h40

l'histoire: En 1947, alors qu'il n'est encore qu'un enfant, Harry surprend sa mère en plein ébat avec le Père Noël. Le traumatisme le poursuivra jusque dans sa vie âge adulte. Trente ans plus tard, son existence touorne entièrement autour du Père Noël.

la critique d'Alice In Oliver:

Le Père Noël est sujet à bien des fantasmes criminels remontant à l'enfance. Voilà un concept qu'exploite plutôt habilement Christmas Evil, réalisé par Lewis Jackson en 1980. En même temps, d'autres films d'horreur exploiteront largement cette idée originale. Comment ne pas évoquer le cas de la saga Douce nuit sanglante ?

L'introduction de Christmas Evil nous présente le cas douloureux de Harry, un jeune gosse qui a subi un traumatisme important la nuit de Noël.
Et oui, notre cher moutard a vu sa mère avoir une relation sexuelle avec le Père Noël. Voilà un événement qui va avoir bien des conséquences sur l'évolution du jeune homme.

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Les années ont passé et Noël reste une période difficile et douloureuse pour Harry. D'ailleurs, son frère ne supporte pas ses délires obsessionnels autour de cette fête.
Très vite, Harry est victime d'hallucinations de type visuelles et auditives. Il se déguise alors en Père Noël et fait bientôt un massacre autour de lui.
Il tue essentiellement des adultes. Christmas Evil est donc un petit slasher fauché.

Toutefois, cette série B sans prétention n'en demeure pas moins intéressant. Le film n'oublie jamais de se concentrer sur son personnage principal, Harry, un psychopathe évidemment marqué par son enfance.
Christmas Evil a également le mérite de ne jamais sombrer dans le gore et vise avant tout l'efficacité.
Dans le genre, ça reste un slasher plutôt intelligent dans sa mise en scène. Après, rien de sensationnel non plus.
Christmas Evil faisait partie de la sélection dvd du magazine Mad Movies du mois de novembre 2010. Bref, on n'est pas loin du nanar, mais l'ensemble se regarde sans déplaisir.

Note: 09/20


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