Je l'aime bon sang ce que je peux l'aimer. Avant d'être maman je ne savais pas qu'on pouvait aimer à ce point, ça vient de si loin et c'est si intense. Quand je m'arrête 2 secondes pour l'admirer le regarder ça me sert dans la poitrine, c'est assez étrange comme sensation, cela n'a rien à voir avec l'amour que l'on peut porter à un homme ou ses parents. C'est juste énorme et parfois je me dis que mon coeur pourrait sortir de ma poitrine tant il bat la chamade.
Durant ma semaine d'arrêt maladie j'ai eu la chance de prendre de l'avance sur mon temps avec lui, il était prévu que je le retrouve le mercredi soir pour le quitter dès le vendredi matin puisqu'il devait partir au ski avec ses grands parents dès le vendredi après l'école (je parle de Petit Chou vous l'aurez compris). Dans mon malheur j'ai eu la chance de partager beaucoup de temps avec lui, j'ai pu le voir tout l'après midi du mercredi, puis le jeudi midi, dès 16h30 mais aussi le vendredi midi.
Que du bonheur, on a mis ce temps volé à profit, il m'a chouchoutée le midi, nous avons joué aux dames, aux 7 familles version lapin crétin, mais aussi à MammaMia, un jeu de cartes où l'on doit composer des pizzas et fait le plein de câlins. Le dernier en date remonte à vendredi midi, il s'est allongé avec moi sur le canapé, on regardait les rediff de "Scènes de Ménage"sa tête posée sur ma poitrine, j'adore lui caresser les cheveux.
Quand ce fut l'heure de retourner à l'école je l'ai serré très fort avec mes bras et mes jambes et lui ai dit en riant "ne va pas à l'école reste avec moi mon coeur" ce à quoi il a répondu "non faut que j'aille à l'école". J'ai fondu. Encore une fois. Cet enfant est génial à tous les points de vue.
Comment ça je ne suis pas objective ?
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