Médard de Terralba part faire la guerre contre les Turcs. Le jeune homme découvre les horreurs de la guerre et n'ayant pas d'expérience au combat il se retrouve coupé en deux par un boulet de canon. Lorsqu'il revient chez lui, ses proches découvrent un homme assoiffé de mal. Quelques temps après, l'autre moitié du vicomte arrive, soucieuse de faire le bien.
Mon avis : J'ai trouvé ce texte étrange : les contours historiques sont plutôt flous : il y a à la fois des chevaliers, des écuyers mais aussi des canons, il y est question de saint empire, d'inquisition, de lépreux, de huguenots et de turcs, je propose une datation large du 17ème au 18ème siècle.
La tonalité du texte est également très particulière : scènes d'horreur, ironie, absurdité, parfois aussi débauche et des scènes de vie quotidienne plutôt champêtre et un soupçon d'histoire d'amour. Bref, ce mélange des genres ne m'a pas spécialement plu. Heureusement que le texte est court, sinon j'aurais abandonné !
Si je devais le conseiller à des élèves, je dirai à partir de la quatrième tout en signalant que c'est un texte qu'il ne faut sûrement pas prendre au premier degrès mais invitant à la réflexion sur le bien et le mal.
L'avantage tout de même c'est que je commence très vite ma deuxième ligne du
puisqu'un vicomte c'est une fonction !CDI +1= 8