Magazine Culture
Le lecteur un peu assidu de ce blog l’a bien compris : Jack London fait partie pour moi de ces écrivains (rares) dont la seule mention du
nom ébranle mon énergie. J’ai ressenti cela en son temps pour Victor Hugo que je ne supportais pas voir critiquer et dont l’œuvre me paraissait mal appréhendée.
La passion pour Jack London est venue plus tard. Au moment où j’étais installé en Ecosse… Je vivais dans une atmosphère propice à
la représentation du « wild » que mettent en scène ses romans. C’est ce « wild » que j’évoquais dans les articles précédents qui a réactivé mon enthousiasme
pour l’écrivain baroudeur auquel j’avais indirectement rendu hommage dans la pièce « Jack, on the route again » en faisant de lui le modèle de toute révolte et de tout
pari pour l’Idéal.
Peut-être plus encore que l’autre Jack, celui de Sur la Route… Plus énergique, plus fort, moins « junkie ».