Deux êtres nous apparaissent peu à peu à travers leurs monologues alternés. L’un est emmuré dans la loge d’un vieux théâtre de la basse ville. L’autre semble en quarantaine sur la terrasse ensoleillée des beaux quartiers, entre des voisins qui l’épient et leurs chiens qui aboient.
Une rencontre imprévisible a lieu entre ces deux-là, qui va se poursuivre inexorablement jusqu’à son dénouement fatal.
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Je ne sais trop que penser de cette lecture... J’ai sauvé cet ouvrage de la mise au pilon dans un CDI, l’histoire m’a semblé intéressante, différente des lectures coutumières, je me suis dit « pourquoi pas ? ». Et maintenant, je me retrouve avec une impression étrange au sortir de cette histoire mystérieuse, parfois bancale, sans queue ni tête, qui se perd par moment et qui perd le lecteur par la même occasion. L’écriture est très recherchée, très particulière et séduira les amateurs de découvertes. Cependant, je n’ai pas réussi à me laisser bercer par l’histoire car j’ai eu du mal a déchiffré les codes.
Les deux personnages sont tout à la fois connus et inconnus. On connaît leur prénom, où ils vivent, ce qu’ils font... Mais finalement, cela a-t-il une quelconque importance ? Qui sont-ils véritablement ? Que font-ils ensemble ? Quel est le lien ? Cela concerne même leur sexe : homme ou femme, quelle importance... A quoi bon chercher un sens quand même la vie n’en a pas ?
Ce roman a son charme, il est particulier, original, attrayant de prime abord, mais trop mystérieux et brinquebalant pour moi, dommage.