Van Halen #1:
David Lee Roth: chant
Eddie Van Halen: guitare, claviers
Michael Anthony: basse
Alex Van Halen: batterie
Tout n'est pas rose au sein du groupe et ce diable de Diamond Dave mène ses compagnons à un train d'enfer, les menant parfois au bord de la rupture.
C'est dans un climat instable, période de tensions entre les membres du groupe, que sort le nouvel album, en avril 1982: "Diver Down" (#3 US), produit par Ted Templeman.
Where have all the goods times gone (R.Davies)
Hang 'em high (Roth-E.Van Halen-Anthony-A.Van Halen)
Cathedral (E.Van Halen)
Secrets (Roth-E.Van Halen-Anthony-A.Van Halen)
Intruder (Roth-E.Van Halen-Anthony-A.Van Halen)
Oh pretty woman (Orbison-Dees)
Dancing in the streets (Stevenson-Hunter-Gaye)
Little guitars-intro (E.Van Halen)
Little guitars (Roth-E.Van Halen-Anthony-A.Van Halen)
Big bad bill (Yellen-Ager)
The full bug (Roth-E.Van Halen-Anthony-A.Van Halen)
Happy trails (Evans)
Musicien additionnel:
Jan Van Halen: clarinette (Big Bad Bill)
Cinq reprises, ça fait beaucoup, signe d'un groupe qui n'a pas eu le temps de se reposer pour retrouver un nouveau souffle.
En plus de ces cinq reprises, trois instrumentaux: "Cathedral" joué aux synthé, "Little guitars-intro" et "Intruder".
Diver down: nageur en difficulté !
Lors d'une interview donnée à la même époque, David Lee Roth explique la pochette ainsi: "Ce drapeau veut dire qu'il y a un danger qui n'est pas apparent, un danger qui se cache sous la surface".
Malgré tout, l'album obtient un énorme succès et fait connaître le groupe à un plus grand nombres de fans grâce au clip vidéo (leur premier): "Oh pretty woman", reprise de Roy Orbison, clip mis en scène par David Lee Roth.
Deux singles extraits se classeront dans les charts: "Oh pretty woman" (#12 US) et "Dancing in the streets" (#38 US), où Eddie se distingue avec ses synthés.
Il se distingue également sur le tube "Beat it" de Michael Jackson sur lequel il joue et qui élargit encore le public de Van Halen.
© Pascal Schlaefli
Urba City
Mars 2012